Dans un communiqué de presse transmis equonet, Greenpeace dénonce le pillage du navire FV Margiris, un géant chalutier battant pavillon lituanien, capable de capturer et de congeler 250 tonnes de poisson par jour, et ciblant les petits poissons pélagiques déjà fortement surpêchés en Afrique de l'Ouest et vitaux pour la sécurité alimentaire de millions de personnes dans la région.
«Les dommages environnementaux que la surpêche cause aux stocks de poissons et à la biodiversité sont immenses. Le Margaris utilise un filet plus grand qu'un terrain de football avec une capacité de stockage de 6000 tonnes. Ce navire est un véritable 'monstre' et une menace pour les ressources pélagiques déjà surexploitées», a déclaré Dr Aliou Ba, conseiller politique de Greenpeace Afrique.
«Tant qu'un système de gestion régionale efficace de ces pêcheries n'est pas mis en place, aucun accord ne devrait permettre l'accès aux petits stocks pélagiques fondamentaux pour la subsistance de millions de pêcheurs de la région ouest-africaine. Les super-chalutiers comme les Margiris n'ont pas leur place ici et constituent une menace pour notre sécurité alimentaire», a –t-il poursuivi.
«Les intérêts des entreprises, comme dans le cas du FV Margiris, ne peuvent en aucun cas l'emporter sur la destruction de la biodiversité et les risques pour l'insécurité alimentaire et les moyens de subsistance de millions de personnes dépendant de la pêche et des protéines de poisson», a t-il ajouté.
Le navire FV Margiris est présent dans les eaux mauritaniennes en raison d'un accord entre l'Union européenne (UE) et la Mauritanie, au détriment de millions de personnes qui dépendent des ressources halieutiques partagées dans la région ouest-africaine. Les ressources pélagiques les plus critiques pour la sécurité alimentaire régionale sont déjà surexploitées selon le dernier rapport du Comité des pêches pour l'Atlantique Centre-Est (COPACE).
Aussi, Greenpeace appelle-t-elle l'UE et la Mauritanie à donner la priorité aux pratiques de pêche durables plutôt qu'aux méga chalutiers industriels.
Greenpeace appelle également tous les pays d'Afrique de l'Ouest à convenir de mesures régionales pour la gestion des stocks partagés, sur la base d'avis scientifiques, et à interdire l'accès à leurs eaux à des navires surdimensionnés et dévastateurs comme le FV Margiris.
«Les dommages environnementaux que la surpêche cause aux stocks de poissons et à la biodiversité sont immenses. Le Margaris utilise un filet plus grand qu'un terrain de football avec une capacité de stockage de 6000 tonnes. Ce navire est un véritable 'monstre' et une menace pour les ressources pélagiques déjà surexploitées», a déclaré Dr Aliou Ba, conseiller politique de Greenpeace Afrique.
«Tant qu'un système de gestion régionale efficace de ces pêcheries n'est pas mis en place, aucun accord ne devrait permettre l'accès aux petits stocks pélagiques fondamentaux pour la subsistance de millions de pêcheurs de la région ouest-africaine. Les super-chalutiers comme les Margiris n'ont pas leur place ici et constituent une menace pour notre sécurité alimentaire», a –t-il poursuivi.
«Les intérêts des entreprises, comme dans le cas du FV Margiris, ne peuvent en aucun cas l'emporter sur la destruction de la biodiversité et les risques pour l'insécurité alimentaire et les moyens de subsistance de millions de personnes dépendant de la pêche et des protéines de poisson», a t-il ajouté.
Le navire FV Margiris est présent dans les eaux mauritaniennes en raison d'un accord entre l'Union européenne (UE) et la Mauritanie, au détriment de millions de personnes qui dépendent des ressources halieutiques partagées dans la région ouest-africaine. Les ressources pélagiques les plus critiques pour la sécurité alimentaire régionale sont déjà surexploitées selon le dernier rapport du Comité des pêches pour l'Atlantique Centre-Est (COPACE).
Aussi, Greenpeace appelle-t-elle l'UE et la Mauritanie à donner la priorité aux pratiques de pêche durables plutôt qu'aux méga chalutiers industriels.
Greenpeace appelle également tous les pays d'Afrique de l'Ouest à convenir de mesures régionales pour la gestion des stocks partagés, sur la base d'avis scientifiques, et à interdire l'accès à leurs eaux à des navires surdimensionnés et dévastateurs comme le FV Margiris.