Les Programme d’assainissement dans dix villes du Sénégal et de remplacement d’abris provisoires, dont la convention de financement complémentaire de la phase de consolidation a été signée vendredi dernier entre Amadou Hott, ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, et Serge Ekué président de la Banque Ouest-Africaine de Développement (BOAD), affichent leurs ambitions en matière de création d’emplois.
D’abord en termes de main d’œuvre, il est attendu du programme d’assainissement la création de mille cinq cent emplois indirects et induits, cinquante emplois directs au cours de l’exploitation du Programme et trois cent emplois indirects et induits au cours de la mise en œuvre et de l’exploitation du Programme.
Pour ce qui est du programme de remplacement d’abris provisoires, il est attendu attendu la création de 726 emplois indirects et induits et 7 720 emplois créés par le Projet.
Ensuite, concernant toujours le programme assainissement, il est attendu l’augmentation du nombre de personnes ayant accès à un service d’assainissement durable et du nombre de personnes adoptant les bonnes pratiques de préservation de la salubrité publique, et la diminution des dépôts sauvages d’ordures dans les quartiers bénéficiaires du Programme.
D’un montant de quinze milliards fcfa, ce Programme a pour objectif global d’améliorer de façon significative les conditions de vie et la santé des populations, en favorisant l’accès durable aux services publics d’assainissement.
Ainsi, dans dix villes du Sénégal, ce programme devrait permettre entre autres : (i) d’accroitre le taux d’accès à l’assainissement des eaux usées dans la zone du Programme de cinquante-six pour cent en 2014 à soixante-quatorze en 2024 ; ii) d’accroitre le taux de dépollution de quarante pour cent en 2014 à cinquante pour cent en 2024 ; iii) d’augmenter de quarante-six pour cent la capacité de traitement des eaux usées dans la zone du Programme par un traitement additionnel de 10 408 m3/jour ; iv) d’atteindre un niveau de traitement des eaux usées conforme aux directives de l’OMS ; et v) de réduire de trente pour cent le nombre de personnes affectées par les inondations dans la ville de Kaolack.
Satisfaire la demande en salles de classe et corriger les disparités au niveau de l’éducation nationale
En ce qui concerne le lot 2 de l’ambitieux Programme de Remplacement d’Abris Provisoires et d’ouvrages annexes (PRORAP) du secteur de l’éducation, l’objectif global est de contribuer à la satisfaction de la demande en salles de classe et corriger les disparités au niveau de l’éducation nationale. De manière spécifique, il s’agira de mettre dans de bonnes conditions d’apprentissage 85 624 enfants défavorisés et de réduire de cinquante pour cent le taux d’abandon dans les écoles concernées.
Les principaux résultats attendus par le gouvernement demeurent la construction et l’équipement de 1529 salles de classe équipées d’ici 2024 pour un montant de 25 milliards de Francs CFA.
De quoi se réjouir le ministre Hott qui attend de ces deux Programmes un impact réel sur l’environnement et le cadre de vie des bénéficiaires et donc sur le développement durable.
Amadou Hott est revenu sur l’appui constant que la BOAD ne cesse d’apporter au Sénégal, secteurs public et privé confondus. Un appui qui, selon lui, se manifeste par une hausse régulière des engagements globaux cumulés de la Banque pour le Sénégal s’élevant en 2021 à 1 166,2 milliards FCFA contre 1 030 milliards en 2019.
D’abord en termes de main d’œuvre, il est attendu du programme d’assainissement la création de mille cinq cent emplois indirects et induits, cinquante emplois directs au cours de l’exploitation du Programme et trois cent emplois indirects et induits au cours de la mise en œuvre et de l’exploitation du Programme.
Pour ce qui est du programme de remplacement d’abris provisoires, il est attendu attendu la création de 726 emplois indirects et induits et 7 720 emplois créés par le Projet.
Ensuite, concernant toujours le programme assainissement, il est attendu l’augmentation du nombre de personnes ayant accès à un service d’assainissement durable et du nombre de personnes adoptant les bonnes pratiques de préservation de la salubrité publique, et la diminution des dépôts sauvages d’ordures dans les quartiers bénéficiaires du Programme.
D’un montant de quinze milliards fcfa, ce Programme a pour objectif global d’améliorer de façon significative les conditions de vie et la santé des populations, en favorisant l’accès durable aux services publics d’assainissement.
Ainsi, dans dix villes du Sénégal, ce programme devrait permettre entre autres : (i) d’accroitre le taux d’accès à l’assainissement des eaux usées dans la zone du Programme de cinquante-six pour cent en 2014 à soixante-quatorze en 2024 ; ii) d’accroitre le taux de dépollution de quarante pour cent en 2014 à cinquante pour cent en 2024 ; iii) d’augmenter de quarante-six pour cent la capacité de traitement des eaux usées dans la zone du Programme par un traitement additionnel de 10 408 m3/jour ; iv) d’atteindre un niveau de traitement des eaux usées conforme aux directives de l’OMS ; et v) de réduire de trente pour cent le nombre de personnes affectées par les inondations dans la ville de Kaolack.
Satisfaire la demande en salles de classe et corriger les disparités au niveau de l’éducation nationale
En ce qui concerne le lot 2 de l’ambitieux Programme de Remplacement d’Abris Provisoires et d’ouvrages annexes (PRORAP) du secteur de l’éducation, l’objectif global est de contribuer à la satisfaction de la demande en salles de classe et corriger les disparités au niveau de l’éducation nationale. De manière spécifique, il s’agira de mettre dans de bonnes conditions d’apprentissage 85 624 enfants défavorisés et de réduire de cinquante pour cent le taux d’abandon dans les écoles concernées.
Les principaux résultats attendus par le gouvernement demeurent la construction et l’équipement de 1529 salles de classe équipées d’ici 2024 pour un montant de 25 milliards de Francs CFA.
De quoi se réjouir le ministre Hott qui attend de ces deux Programmes un impact réel sur l’environnement et le cadre de vie des bénéficiaires et donc sur le développement durable.
Amadou Hott est revenu sur l’appui constant que la BOAD ne cesse d’apporter au Sénégal, secteurs public et privé confondus. Un appui qui, selon lui, se manifeste par une hausse régulière des engagements globaux cumulés de la Banque pour le Sénégal s’élevant en 2021 à 1 166,2 milliards FCFA contre 1 030 milliards en 2019.