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Au Sénégal et en Afrique d’une manière générale, la dissimulation des données et des informations est flagrante et récurrente dans le secteur extractif. Ainsi, elle pose un grand et réel problème de transparence. Ce qui fait de l’industrie extractive un secteur à haut risque de corruption pouvant impacter négativement les ambitions de développement du pays.
Par conséquent, le journaliste Ndakhté M. Gaye a jugé essentiel d’assurer un suivi régulier des exigences de transparence et des obligations de divulgation complète et exhaustive des données du secteur pour veiller à leur mise en œuvre effective.
« Le lancement du Journal EQUONET ENERGIES MAGAZINE, un trimestriel d’information et d’analyse des données du secteur extractif, obéit à un double objectif. D’une part, c’est de veiller sur la conformité des entreprises à ces exigences et d’alerter sur les risques de corruption. D’autre part, c’est de contribuer au renforcement de la transparence, de la responsabilité et de l'intégrité au sein des institutions et des entreprises impliquées dans un secteur aussi stratégique que les industries extractives », a expliqué M. Gaye.
« Cet engagement de suivi s’est manifesté dans ce numéro zéro où nous avons accordé un grand intérêt à une question de transparence aussi importante que la Divulgation des données et des informations des bénéficiaires effectifs des sociétés extractives », a-t-il poursuivi.
« Nous y avons abordé aussi le Contenu local, précisément son volet approvisionnement où les fournisseurs étrangers continuent de remporter des parts importantes dans l’attribution des marchés de fournitures du sous-secteur des mines même si la tendance se renverse progressivement dans le sous-secteur des hydrocarbures au bénéfice des entreprises locales », a-t-il ajouté.
Ce magazine fait suite à la mise en ligne du site Ecofinance.sn en 2013 après une formation à Dinard, dans la région Bretagne et une immersion au grand média Ouest France. Puis, l’entreprise a procédé à un changement de nom de domaine pour devenir EQUONET Energies.
Le lancement de ce nouveau magazine vient en complément de ce média en ligne pour veiller sur les obligations de transparence du secteur extractif africain.
Par conséquent, le journaliste Ndakhté M. Gaye a jugé essentiel d’assurer un suivi régulier des exigences de transparence et des obligations de divulgation complète et exhaustive des données du secteur pour veiller à leur mise en œuvre effective.
« Le lancement du Journal EQUONET ENERGIES MAGAZINE, un trimestriel d’information et d’analyse des données du secteur extractif, obéit à un double objectif. D’une part, c’est de veiller sur la conformité des entreprises à ces exigences et d’alerter sur les risques de corruption. D’autre part, c’est de contribuer au renforcement de la transparence, de la responsabilité et de l'intégrité au sein des institutions et des entreprises impliquées dans un secteur aussi stratégique que les industries extractives », a expliqué M. Gaye.
« Cet engagement de suivi s’est manifesté dans ce numéro zéro où nous avons accordé un grand intérêt à une question de transparence aussi importante que la Divulgation des données et des informations des bénéficiaires effectifs des sociétés extractives », a-t-il poursuivi.
« Nous y avons abordé aussi le Contenu local, précisément son volet approvisionnement où les fournisseurs étrangers continuent de remporter des parts importantes dans l’attribution des marchés de fournitures du sous-secteur des mines même si la tendance se renverse progressivement dans le sous-secteur des hydrocarbures au bénéfice des entreprises locales », a-t-il ajouté.
Ce magazine fait suite à la mise en ligne du site Ecofinance.sn en 2013 après une formation à Dinard, dans la région Bretagne et une immersion au grand média Ouest France. Puis, l’entreprise a procédé à un changement de nom de domaine pour devenir EQUONET Energies.
Le lancement de ce nouveau magazine vient en complément de ce média en ligne pour veiller sur les obligations de transparence du secteur extractif africain.
