Quelles actions mener pour faire face aux menaces de l’heure sur la stabilité financière en Afrique sub saharienne ? C’est à cette question que les gouverneurs de banques centrales, le secrétariat du Fonds de stabilité financière (FSB) ainsi que des experts du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale cherchent à répondre.
Ils ont saisi l’occasion de la première réunion semestrielle du Groupe consultatif régional du conseil de stabilité financière pour l’Afrique subsaharienne ouverte officiellement aujourd’hui à Dakar au Sénégal, pour se soumettre à l’exercice.
Dans son allocution d’ouverture, le gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO), Jean Claude Brou Kassi, a abordé quelques thématiques majeures incluant les nouveaux défis auxquels sont confrontés les pays. Il a ainsi cité les paiements transfrontaliers, l’évaluation des vulnérabilités aux niveaux mondial et régional, l’usage de l’intelligence artificielle dans le secteur financier et le changement climatique.
« Ces échanges enrichissants contribueront à identifier les actions à mener afin de relever les défis liés aux menaces qui pèsent sur la stabilité financière en Afrique subsaharienne », a-t-il indiqué.
« En outre, les participants évoqueront les leviers sur lesquels les autorités de régulation et de supervision pourraient jouer pour limiter les impacts de l’occurrence des risques émergents et de nature systémique », a-t-il ajouté.
Le FSB coordonne, à l’échelle internationale, les travaux des autorités nationales et des organismes internationaux de normalisation financière et promeut la mise en place effective de cadres réglementaires et de supervision, ainsi que de toutes autres politiques du secteur financier favorables à la stabilité financière.
Pour élargir le cercle des pays contribuant aux délibérations du FSB, le Conseil a décidé de créer en 2011 six groupes consultatifs régionaux (GCR) dont l’Afrique subsaharienne. Ces groupes sont composés des autorités des secteurs financiers des pays membres et non-membres du FSB.
Ils ont saisi l’occasion de la première réunion semestrielle du Groupe consultatif régional du conseil de stabilité financière pour l’Afrique subsaharienne ouverte officiellement aujourd’hui à Dakar au Sénégal, pour se soumettre à l’exercice.
Dans son allocution d’ouverture, le gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO), Jean Claude Brou Kassi, a abordé quelques thématiques majeures incluant les nouveaux défis auxquels sont confrontés les pays. Il a ainsi cité les paiements transfrontaliers, l’évaluation des vulnérabilités aux niveaux mondial et régional, l’usage de l’intelligence artificielle dans le secteur financier et le changement climatique.
« Ces échanges enrichissants contribueront à identifier les actions à mener afin de relever les défis liés aux menaces qui pèsent sur la stabilité financière en Afrique subsaharienne », a-t-il indiqué.
« En outre, les participants évoqueront les leviers sur lesquels les autorités de régulation et de supervision pourraient jouer pour limiter les impacts de l’occurrence des risques émergents et de nature systémique », a-t-il ajouté.
Le FSB coordonne, à l’échelle internationale, les travaux des autorités nationales et des organismes internationaux de normalisation financière et promeut la mise en place effective de cadres réglementaires et de supervision, ainsi que de toutes autres politiques du secteur financier favorables à la stabilité financière.
Pour élargir le cercle des pays contribuant aux délibérations du FSB, le Conseil a décidé de créer en 2011 six groupes consultatifs régionaux (GCR) dont l’Afrique subsaharienne. Ces groupes sont composés des autorités des secteurs financiers des pays membres et non-membres du FSB.