Cérémonie de lancement des travaux de formulation du Plan national de développement (PND) et du nouveau plan d’actions Prioritaires 2024-2028.
« J’ai insisté sur le fait que l’économie et l’investissement reposent d’abord sur un climat social apaisé. Il faudrait que les gens tiennent compte de cette situation pour qu’on puisse trouver un moyen d’avoir des conditions favorables pour des investissements pour des discussions de l’essentiel de ce qui fait avancer un pays, c’est-à-dire l’économie », a déclaré Adama Lam, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES), au nom nom du secteur privé sénégalais.
Le représentant du secteur privé à la cérémonie de lancement des travaux de formulation, au titre de la période 2024-2028, du Plan national de développement (PND) et du nouveau plan d’actions Prioritaires (PAP) a insisté sur l’importance pour le pays de retrouver l’économie au sein du dispositif social et global.
« Depuis plusieurs semaines, la politique a pris le pas sur la vie de la nation. C’est à l’occasion d’un évènement comme celui-là, que l’on puisse associer le secteur privé qui peut être le moteur d’une croissance forte capable de résoudre les problèmes en ce moment : comme l’emploi des jeunes, le développement économique et qui reposent sur le secteur privé national », a-t-il poursuivi.
Dans cette optique, Adama Lam, a souligné la nécessité d’avoir une épargne nationale consistante. Il estime que l’Etat ne peut pas tout faire et, de ce fait, doit être accompagné par le secteur privé pour bâtir des champions nationaux favorisant l’emploi de masse, le ruissellement de la croissance vécu et qui, pendant des années n’ont pas permis d’avoir tous les résultats escomptés.
Cela est d'autant plus vrai dans un contexte économique mondial, avec des facteurs exogènes que personne ne maitrise notamment la guerre en Ukraine, le Covid-19, les difficultés avec la situation de Mali. "Ce qui doit nous amener à recentrer sur nous même en comprenant que le pays doit dépasser le stade de la sécurité alimentaire pour aller vers la souveraineté alimentaire", a-t-il ajouté.
Pour le président de la CNES, il est temps de comprendre que le pays ne peut plus vivre décemment en dépendant de l’extérieur. « Cet ajustement, c’est dans tous les domaines : au plan moral, dans les comportements, des collaborations entre l’Etat et le secteur privé. Il est heureux de constater dans cette approche du nouveau PAP, que ces jalons vont être posés d’une manière effective pour faire entendre la voie du secteur privé fort qui doit être de manière effective le pivot du développement et de la croissance économique », a-t-il encore avancé.
Le représentant du secteur privé à la cérémonie de lancement des travaux de formulation, au titre de la période 2024-2028, du Plan national de développement (PND) et du nouveau plan d’actions Prioritaires (PAP) a insisté sur l’importance pour le pays de retrouver l’économie au sein du dispositif social et global.
« Depuis plusieurs semaines, la politique a pris le pas sur la vie de la nation. C’est à l’occasion d’un évènement comme celui-là, que l’on puisse associer le secteur privé qui peut être le moteur d’une croissance forte capable de résoudre les problèmes en ce moment : comme l’emploi des jeunes, le développement économique et qui reposent sur le secteur privé national », a-t-il poursuivi.
Dans cette optique, Adama Lam, a souligné la nécessité d’avoir une épargne nationale consistante. Il estime que l’Etat ne peut pas tout faire et, de ce fait, doit être accompagné par le secteur privé pour bâtir des champions nationaux favorisant l’emploi de masse, le ruissellement de la croissance vécu et qui, pendant des années n’ont pas permis d’avoir tous les résultats escomptés.
Cela est d'autant plus vrai dans un contexte économique mondial, avec des facteurs exogènes que personne ne maitrise notamment la guerre en Ukraine, le Covid-19, les difficultés avec la situation de Mali. "Ce qui doit nous amener à recentrer sur nous même en comprenant que le pays doit dépasser le stade de la sécurité alimentaire pour aller vers la souveraineté alimentaire", a-t-il ajouté.
Pour le président de la CNES, il est temps de comprendre que le pays ne peut plus vivre décemment en dépendant de l’extérieur. « Cet ajustement, c’est dans tous les domaines : au plan moral, dans les comportements, des collaborations entre l’Etat et le secteur privé. Il est heureux de constater dans cette approche du nouveau PAP, que ces jalons vont être posés d’une manière effective pour faire entendre la voie du secteur privé fort qui doit être de manière effective le pivot du développement et de la croissance économique », a-t-il encore avancé.