En effet, certains parmi eux ayant pris la parole ont manifesté leur disponibilité à prendre part à cette rencontre où plus d’un millier de participants sont attendus et qui portera sur le thème central ‘’Emergence, secteur privé et inclusivité’’.
Le ministre conseiller du président de la République, Gnounka Diouf, présidente du comité scientifique, leur a expliqué les enjeux pour les opays africains. Elle a fait le point sur les préparatifs scientifique et administratif et les prochaines de la préparation.
Elle a ensuite donner la parole au représentant du PNUD qui leur a exposé l’agenda de la conférence. Sont inscrits au programme des thématiques portant l’une sur la promotion du secteur privé comme moteur de l’émergence pour développer des champions nationaux et des investissements privés et l’autre sur l’inclusivité comme gage de soutenabilité des dynamiques d’émergence.
Dans chacune de ces thématiques, il est prévu une séance plénière, des sessions parallèles et des panels parmi lesquels celui des chefs d’Etat, secteur privé et responsables d’institutions (PNUD, Banque mondiale, BAD).
Il est également inscrit dans l’agenda des événements spéciaux avec des pays comme la Corée du Sud, la Malaisie. Au Sénégal, c’est le Consortium pour la recherche économique et social (CRES) qui a été mandaté l’organisation de cet événement.
La CIEA III compte aborder la problématique du secteur privé dans le processus d’émergence. En effet, il a été constaté que le poids du secteur privé reste encore faible et la croissance économique est souvent portée par l’investissement public et la consommation, avec en corollaire en endettement croissant et une croissance non durable et non inclusive.
Pour les initiateurs de la conférence, un secteur privé fort, avec en tête des champions nationaux, et des filières compétitives sont nécessaires à la transformation structurelle de l’économie et à l’amélioration significative du niveau de vie et du bien être des populations.
Dans ce contexte, ils estiment urgent pour les économies africaines de relayer et d’amplifier les investissements publics par un investissement privé massif, le développement de filières compétitives et l’émergence de champions nationaux.
C’est tout l’intérêt de la CIEAIII dont l’objectif général est d’approfondir le débat et de proposer des solutions pratiques pour les plans d’émergence africains, via un engagement visible du secteur privé national soutenu par de solides partenariats avec l’Etat en vue d’une croissance forte, résiliente, inclusive et qui valorise les potentialités de tous les territoires.
Le ministre conseiller du président de la République, Gnounka Diouf, présidente du comité scientifique, leur a expliqué les enjeux pour les opays africains. Elle a fait le point sur les préparatifs scientifique et administratif et les prochaines de la préparation.
Elle a ensuite donner la parole au représentant du PNUD qui leur a exposé l’agenda de la conférence. Sont inscrits au programme des thématiques portant l’une sur la promotion du secteur privé comme moteur de l’émergence pour développer des champions nationaux et des investissements privés et l’autre sur l’inclusivité comme gage de soutenabilité des dynamiques d’émergence.
Dans chacune de ces thématiques, il est prévu une séance plénière, des sessions parallèles et des panels parmi lesquels celui des chefs d’Etat, secteur privé et responsables d’institutions (PNUD, Banque mondiale, BAD).
Il est également inscrit dans l’agenda des événements spéciaux avec des pays comme la Corée du Sud, la Malaisie. Au Sénégal, c’est le Consortium pour la recherche économique et social (CRES) qui a été mandaté l’organisation de cet événement.
La CIEA III compte aborder la problématique du secteur privé dans le processus d’émergence. En effet, il a été constaté que le poids du secteur privé reste encore faible et la croissance économique est souvent portée par l’investissement public et la consommation, avec en corollaire en endettement croissant et une croissance non durable et non inclusive.
Pour les initiateurs de la conférence, un secteur privé fort, avec en tête des champions nationaux, et des filières compétitives sont nécessaires à la transformation structurelle de l’économie et à l’amélioration significative du niveau de vie et du bien être des populations.
Dans ce contexte, ils estiment urgent pour les économies africaines de relayer et d’amplifier les investissements publics par un investissement privé massif, le développement de filières compétitives et l’émergence de champions nationaux.
C’est tout l’intérêt de la CIEAIII dont l’objectif général est d’approfondir le débat et de proposer des solutions pratiques pour les plans d’émergence africains, via un engagement visible du secteur privé national soutenu par de solides partenariats avec l’Etat en vue d’une croissance forte, résiliente, inclusive et qui valorise les potentialités de tous les territoires.