Créé par des chefs d’Etats africains et lancé à Dakar, le Réseau africain des Delivery units est passé au ‘’plus haut niveau institutionnel’’ pour accompagner les dynamiques d’émergences à travers le continent.
""La 3ème édition de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique a permis d’approfondir cette réflexion et de proposer aux pays initiateurs des plans d’émergences des solutions pratiques pour un renforcement de la participation du secteur privé soutenu par de solides partenariats avec l’Etat pour une croissance forte, résiliente, inclusive, etc.’’, a expliqué le directeur du Bureau opérationnel de suivi (BOS) du Plan Sénégal émergent (PSE), Ibrahima Wade.
En fait, selon lui, les résultats des travaux de réseau apporteront une solution ‘’concrète’’ à la question sur la garantie d’une mise en œuvre effective des plans d’émergence en Afrique. C’est une plateforme d’échanges d’expériences en matière de meilleur pilotage des plans de transformation économique.
Mais aussi, un cadre de collaboration formel pour user des meilleures pratiques, faciliter les partenariats en matière de renforcement de capacité et permettre une cohérence dans l’orientation des politiques et programmes de développement des pays membres.
‘’Dans cette perspective, le réseau ambitionne une publication périodique des résultats et des réflexions sur les solutions innovantes mises en œuvre dans le cadre de la transformation économique en Afrique. D’ailleurs dans le second semestre de l’année 2019, le réseau publiera un document synthétisant l’essence des travaux de la CIEA 3. Il tiendra sa prochaine rencontre dans le 3ème trimestre de l’année 2019 en Nairobi, pour ensemble adapter une feuille de route détaillée et mettre en place des instances nécessaires’’, a ajouté M. Wade.
Les pays membres de cette initiative sont notamment le Bénin, la Gambie, le Ghana, la Guinée, le Kenya, le Libéria, le Madagascar, la Malaisie, le Maroc, le Nigéria, le Togo et le Sénégal.
""La 3ème édition de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique a permis d’approfondir cette réflexion et de proposer aux pays initiateurs des plans d’émergences des solutions pratiques pour un renforcement de la participation du secteur privé soutenu par de solides partenariats avec l’Etat pour une croissance forte, résiliente, inclusive, etc.’’, a expliqué le directeur du Bureau opérationnel de suivi (BOS) du Plan Sénégal émergent (PSE), Ibrahima Wade.
En fait, selon lui, les résultats des travaux de réseau apporteront une solution ‘’concrète’’ à la question sur la garantie d’une mise en œuvre effective des plans d’émergence en Afrique. C’est une plateforme d’échanges d’expériences en matière de meilleur pilotage des plans de transformation économique.
Mais aussi, un cadre de collaboration formel pour user des meilleures pratiques, faciliter les partenariats en matière de renforcement de capacité et permettre une cohérence dans l’orientation des politiques et programmes de développement des pays membres.
‘’Dans cette perspective, le réseau ambitionne une publication périodique des résultats et des réflexions sur les solutions innovantes mises en œuvre dans le cadre de la transformation économique en Afrique. D’ailleurs dans le second semestre de l’année 2019, le réseau publiera un document synthétisant l’essence des travaux de la CIEA 3. Il tiendra sa prochaine rencontre dans le 3ème trimestre de l’année 2019 en Nairobi, pour ensemble adapter une feuille de route détaillée et mettre en place des instances nécessaires’’, a ajouté M. Wade.
Les pays membres de cette initiative sont notamment le Bénin, la Gambie, le Ghana, la Guinée, le Kenya, le Libéria, le Madagascar, la Malaisie, le Maroc, le Nigéria, le Togo et le Sénégal.