La récente découverte de pétrole et de gaz confère au Sénégal un nouveau statut et suscite beaucoup d’espoirs chez les populations. Ce qui explique la mise en place d’un nouveau cadre juridique avec l’adoption d’une loi portant contenu local dont le but est de faire profiter à la main d’œuvre locale et les entreprises nationales des profits tirés de l’exploitation de ces ressources pétrolières et gazières. C’est pourquoi les organisations syndicales qui militent pour les travailleurs accordent une importance particulière à la mise en œuvre de la loi car étant les principaux concernés.
Pour Cheikh Diop, secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal – Force du changement (Cnts/Fc), leurs attentes ont été largement prises en compte dans la loi sur le contenu local. «La loi sur le contenu local a des effets directs sur les entreprises privées nationales donc cette loi sur le contenu local est hautement importante pour nous travailleurs», informe-t-il en toute sérénité.
D’abord la loi sur le contenu local installe le cadre juridique et institutionnel qui favorise l’utilisation de la main d’œuvre locale, la participation des entreprises nationales aux activités pétrolières et gazières et le développement de la technologie et du savoir-faire sénégalais. Mais c’est loin d’être suffisant pour le CNTS/FC. Son secrétaire général de préciser que le seul problème que peut rencontrer la loi sur le contenu local c’est sa mise en œuvre correcte. Et cela passe par l’application du cadre qui a été initié comme le comité national de suivi du contenu local. C’est pour cela que les syndicats demandent leur intégration dans ce comité de suivi mais aussi l’accompagnement de l’Etat dans la mise en place d’un centre de formation des petits métiers du pétrole qu’ils souhaitent cogérer avec les employeurs comme c’est le cas dans le secteur du bâtiment.
Sur ce registre, M. Diop demande l’ouverture du COS PETROGAZ à la société civile et aux organisations syndicales. Poursuivant son argumentaire, il soutient que la réussite de l’exploitation gazière et pétrolière dépend largement de l’inclusion des acteurs car pour lui plus les citoyens sont partie prenante, mieux c’est. A ce propos, il révèle que les consultations se poursuivent entre les organisations et le ministère. Avant d’informer qu’il en est de même aussi avec la société civile et d’autres segments de la société concernant les décrets d’applications sur le contenu local et le nouveau code pétrolier. A cet effet, il exhorte l’Etat a continué dans cette démarche inclusive pour faire de ces ressources naturelles une bénédiction.
Dans le secteur de l’emploi, les acteurs de la chaine pétrolière et gazière sont tenus d’utiliser la main d’œuvre locale ce qui favorise, selon lui, la création d’emplois locaux, le renforcement de capacités et le développement du savoir faire. Ensuite pour les entreprises, la loi sur le contenu local favorise la promotion des entreprises sénégalaises, leurs compétitivités et assure le transfert de technologies et de savoir faire. En réalité l’essence même du contenu local, c’est le renforcement de l’entreprise privée et de l’emploi local, conclu.
Pour Cheikh Diop, secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal – Force du changement (Cnts/Fc), leurs attentes ont été largement prises en compte dans la loi sur le contenu local. «La loi sur le contenu local a des effets directs sur les entreprises privées nationales donc cette loi sur le contenu local est hautement importante pour nous travailleurs», informe-t-il en toute sérénité.
D’abord la loi sur le contenu local installe le cadre juridique et institutionnel qui favorise l’utilisation de la main d’œuvre locale, la participation des entreprises nationales aux activités pétrolières et gazières et le développement de la technologie et du savoir-faire sénégalais. Mais c’est loin d’être suffisant pour le CNTS/FC. Son secrétaire général de préciser que le seul problème que peut rencontrer la loi sur le contenu local c’est sa mise en œuvre correcte. Et cela passe par l’application du cadre qui a été initié comme le comité national de suivi du contenu local. C’est pour cela que les syndicats demandent leur intégration dans ce comité de suivi mais aussi l’accompagnement de l’Etat dans la mise en place d’un centre de formation des petits métiers du pétrole qu’ils souhaitent cogérer avec les employeurs comme c’est le cas dans le secteur du bâtiment.
Sur ce registre, M. Diop demande l’ouverture du COS PETROGAZ à la société civile et aux organisations syndicales. Poursuivant son argumentaire, il soutient que la réussite de l’exploitation gazière et pétrolière dépend largement de l’inclusion des acteurs car pour lui plus les citoyens sont partie prenante, mieux c’est. A ce propos, il révèle que les consultations se poursuivent entre les organisations et le ministère. Avant d’informer qu’il en est de même aussi avec la société civile et d’autres segments de la société concernant les décrets d’applications sur le contenu local et le nouveau code pétrolier. A cet effet, il exhorte l’Etat a continué dans cette démarche inclusive pour faire de ces ressources naturelles une bénédiction.
Dans le secteur de l’emploi, les acteurs de la chaine pétrolière et gazière sont tenus d’utiliser la main d’œuvre locale ce qui favorise, selon lui, la création d’emplois locaux, le renforcement de capacités et le développement du savoir faire. Ensuite pour les entreprises, la loi sur le contenu local favorise la promotion des entreprises sénégalaises, leurs compétitivités et assure le transfert de technologies et de savoir faire. En réalité l’essence même du contenu local, c’est le renforcement de l’entreprise privée et de l’emploi local, conclu.