(Ecofinance.sn – Dakar) - Leviers de croissance et créateurs d’emplois, le tourisme et les transports aériens sont mis au cœur des réalisations du gouvernement dans le livre blanc-Sénégal émergent 2012-2017 que son porte vient du publier.
Le Tourisme et les Transports aériens sont deux sous-secteurs interdépendants. Le tourisme est conditionné par les possibilités de déplacement offertes, principalement à travers les transports aériens. Ces derniers ont révolutionné la pratique touristique et permis son essor au point qu’il est devenu l’une des premières industries au monde contribuant significativement au développement de nombreux pays, notamment du Sénégal. En effet, selon les dernières estimations, le Tourisme représente 6 pour cent du produit intérieur brut (Pib) du Sénégal et génère près de 100 000 emplois.
L’importance accordée à ces deux sous-secteurs a été réaffirmée dans le Plan Sénégal Émergent qui ambitionne de faire du tourisme, soutenu par un Hub aérien régional compétitif, un levier de croissance économique et de création d’emplois.
Ainsi, à travers le PSE, le Sénégal ambitionne de faire partie du Top 5 des destinations touristiques africaines à travers un objectif de 3 millions de touristes à l’horizon 2023. Pour ce faire, les projets prioritaires retenus sont la création de 3 à 6 zones touristiques intégrées et le développement du Micro-tourisme.
Par ailleurs, suite au contexte international et sous régional peu favorable, voire contraignant pour le développement du tourisme, le Chef de l’État avait pris d’importantes mesures pour sa relance qui sont en train de porter leurs fruits.
S’agissant du transport aérien, l’objectif est de faire de Dakar une plate-forme aérienne de référence pour servir les ambitions de devenir un hub de services (médical, tourisme, sièges régionaux des entreprises et institutions internationales, éducation-formation) avec l’ambition d’arriver à 5 millions de passagers à l’horizon 2023 et 10 millions en 2035.
Dans ce cadre, la stratégie est articulée autour de : (i) la mise en service du nouvel aéroport international Blaise Diagne (AIBD) en 2017 (le taux d’achèvement était de 33% en 2012), (ii) la réhabilitation des aérodromes régionaux d’ici à 2018 pour favoriser le trafic interne et améliorer le désenclavement des zones de production, (iii) la mise en place d’une compagnie nationale forte.
En plus du développement des infrastructures de transport aérien, un accent particulier est mis sur l’amélioration du système de sécurité et de sûreté.
De même, le rôle de la météorologie, activité de soutien à l’aviation civile, a été renforcé pour servir de plus en plus aux secteurs de production économique tels que l’agriculture, l’élevage et la pêche.
Le Tourisme et les Transports aériens sont deux sous-secteurs interdépendants. Le tourisme est conditionné par les possibilités de déplacement offertes, principalement à travers les transports aériens. Ces derniers ont révolutionné la pratique touristique et permis son essor au point qu’il est devenu l’une des premières industries au monde contribuant significativement au développement de nombreux pays, notamment du Sénégal. En effet, selon les dernières estimations, le Tourisme représente 6 pour cent du produit intérieur brut (Pib) du Sénégal et génère près de 100 000 emplois.
L’importance accordée à ces deux sous-secteurs a été réaffirmée dans le Plan Sénégal Émergent qui ambitionne de faire du tourisme, soutenu par un Hub aérien régional compétitif, un levier de croissance économique et de création d’emplois.
Ainsi, à travers le PSE, le Sénégal ambitionne de faire partie du Top 5 des destinations touristiques africaines à travers un objectif de 3 millions de touristes à l’horizon 2023. Pour ce faire, les projets prioritaires retenus sont la création de 3 à 6 zones touristiques intégrées et le développement du Micro-tourisme.
Par ailleurs, suite au contexte international et sous régional peu favorable, voire contraignant pour le développement du tourisme, le Chef de l’État avait pris d’importantes mesures pour sa relance qui sont en train de porter leurs fruits.
S’agissant du transport aérien, l’objectif est de faire de Dakar une plate-forme aérienne de référence pour servir les ambitions de devenir un hub de services (médical, tourisme, sièges régionaux des entreprises et institutions internationales, éducation-formation) avec l’ambition d’arriver à 5 millions de passagers à l’horizon 2023 et 10 millions en 2035.
Dans ce cadre, la stratégie est articulée autour de : (i) la mise en service du nouvel aéroport international Blaise Diagne (AIBD) en 2017 (le taux d’achèvement était de 33% en 2012), (ii) la réhabilitation des aérodromes régionaux d’ici à 2018 pour favoriser le trafic interne et améliorer le désenclavement des zones de production, (iii) la mise en place d’une compagnie nationale forte.
En plus du développement des infrastructures de transport aérien, un accent particulier est mis sur l’amélioration du système de sécurité et de sûreté.
De même, le rôle de la météorologie, activité de soutien à l’aviation civile, a été renforcé pour servir de plus en plus aux secteurs de production économique tels que l’agriculture, l’élevage et la pêche.