Dans un communiqué de presse transmis à equonet, le ministère sénégalais du Pétrole et des Energies annonce l’approbation officielle, hier vendredi, à Luanda (Angola), lors de la 43ème session du Conseil des ministres de l’Organisation des Producteurs de Pétrole Africains (APPO), tenue en présence de Sophie Gladima, ministre de tutelle, de l’adhésion du Sénégal au sein de ladite organisation, à la suite de la correspondance adressée par le gouvernement en date du 18 octobre dernier.
Mais la question que l’on doit se poser est de savoir qu’est-ce que le Sénégal gagne de son acceptation au sein de ce groupe ? Voici la réponse du ministère de tutelle. « En adhérant à cette organisation panafricaine dans le secteur des hydrocarbures, le Sénégal pourra bénéficier davantage des supports et expériences des autres pays membres de l’organisation. Il sera également membre fondateur de la Banque des énergies en Afrique, créée et lancée officiellement au cours de cette 43ème session du conseil des ministres. Par ailleurs, notre pays va élargir son champ d’action et maximiser ses opportunités dans le secteur pour mieux défendre ses intérêts, dans la perspective de l’exploitation prochaine du gaz et du pétrole. Il renforce ainsi les moyens de sa politique dans le secteur où les grands ensembles sont capitaux, pour se positionner sur le marché mondial », fait-il savoir.
Il précise également que cette adhésion s’est faite après près de deux (2 ans) de participation et de suivi du Sénégal comme observateur.
Et le ministère de rappeler que l’Organisation africaine des producteurs de pétrole (anciennement appelée Association africaine des producteurs de pétrole, APPA) a été créée le 27 janvier 1987 à Lagos, en République fédérale du Nigéria, par huit (8) pays (Algérie, Angola, Bénin, Cameroun, République du Congo, Gabon, Libye et Nigéria). Elle compte 17 membres et 1 pays Observateur, le Venezuela. Le Sénégal est le 18ème membre.
L’APPO a pour mission de promouvoir la coopération entre les pays membres et autres institutions internationales dans le domaine des hydrocarbures et d’encourager une collaboration fructueuse et des partenariats en se servant des hydrocarbures comme catalyseurs pour la sécurité énergétique, le développement durable et la diversification économique en Afrique.
Elle aspire à être l’institution majeure et de référence dans le monde sur les questions d’hydrocarbures en Afrique.
Mais la question que l’on doit se poser est de savoir qu’est-ce que le Sénégal gagne de son acceptation au sein de ce groupe ? Voici la réponse du ministère de tutelle. « En adhérant à cette organisation panafricaine dans le secteur des hydrocarbures, le Sénégal pourra bénéficier davantage des supports et expériences des autres pays membres de l’organisation. Il sera également membre fondateur de la Banque des énergies en Afrique, créée et lancée officiellement au cours de cette 43ème session du conseil des ministres. Par ailleurs, notre pays va élargir son champ d’action et maximiser ses opportunités dans le secteur pour mieux défendre ses intérêts, dans la perspective de l’exploitation prochaine du gaz et du pétrole. Il renforce ainsi les moyens de sa politique dans le secteur où les grands ensembles sont capitaux, pour se positionner sur le marché mondial », fait-il savoir.
Il précise également que cette adhésion s’est faite après près de deux (2 ans) de participation et de suivi du Sénégal comme observateur.
Et le ministère de rappeler que l’Organisation africaine des producteurs de pétrole (anciennement appelée Association africaine des producteurs de pétrole, APPA) a été créée le 27 janvier 1987 à Lagos, en République fédérale du Nigéria, par huit (8) pays (Algérie, Angola, Bénin, Cameroun, République du Congo, Gabon, Libye et Nigéria). Elle compte 17 membres et 1 pays Observateur, le Venezuela. Le Sénégal est le 18ème membre.
L’APPO a pour mission de promouvoir la coopération entre les pays membres et autres institutions internationales dans le domaine des hydrocarbures et d’encourager une collaboration fructueuse et des partenariats en se servant des hydrocarbures comme catalyseurs pour la sécurité énergétique, le développement durable et la diversification économique en Afrique.
Elle aspire à être l’institution majeure et de référence dans le monde sur les questions d’hydrocarbures en Afrique.