S’appuyant sur les données déclarées par les entités publiques, après travaux de conciliation, le Comité national de l’Initiative pour la transparence dans l’industrie extractive (ITIE Sénégal) annonce que le total des revenus générés par le secteur extractif pour le premier semestre de l’année 2022 s’élève à plus de 110 milliards de FCFA, dont plus de 95 milliards affectés au budget de l’Etat.
Cette affectation budgétaire laisse penser que l’Etat sénégalais a bien tiré profit de ses ressources extractives en termes de revenus encaissés par PETROSEN (310.912.356 FCFA) et de recettes encaissées par le Trésor public (93.597.715.322 FCFA), soit en somme 93.908.627.678 FCFA.
Mais, comparée à la valeur totale des productions du secteur extractif (396 742 714,5 FCFA pour le secteur des hydrocarbures et 574 953 647 186 FCFA pour les mines, soit en somme 575.350.389.900 FCFA), l’on peut se rendre compte que cette affectation budgétaire est très marginale par rapport au total des revenus générés (110.801. 152. 870 FCFA).
Si on fait la différence entre la valeur totale des productions du secteur extractif et le total des revenus générés, on rend compte que l’écrasante majorité de l’argent issu de la production du secteur extractif (464.549.237.030 FCFA) reste entre les mains des entreprises de production.
Au sujet de la répartition des revenus, le secteur minier s’offre la part du lion avec 99 358 855 945 FCFA (plus de 89 pour cent), le secteur des hydrocarbures ne générant que 9 034 115 028 FCFA (plus de 8 pour cent).
En ce qui concerne les paiements du secteur extractif (hors paiements sociaux), le total annoncé est de 108 392 970 973 FCFA (plus de 97 pour cent).
Par rapport aux paiements sociaux, l’ITIE avance un chiffre de 1 273 069 489 FCFA (plus de 1 pour cent). L’organisation précise que ce montant représente seulement les paiements sociaux du secteur minier, celui des hydrocarbures est néant. Aucune explication n’est fournie, mais l’on pourrait lier ce manque de paiements au fait qu’il n’y a pas encore de productions de pétrole et de gaz. Celles-ci sont attendues au dernier trimestre 2023.
Quant aux paiements environnementaux du secteur minier, le chiffre avancé est de 20 437 350 FCFA (0,02 pour cent). La garantie de réhabilitation des sites miniers versée à la -3Caisse des dépôts et de consignation (CDC) étant de 1 114 675 058 (1,01 pour cent).
Le total des paiements sociaux et environnementaux et garantie de réhabilitation des sites miniers s’élève à 2 408 181 897 FCFA (plus de 2 pour cent).
En somme, le total des revenus générés par le secteur extractif pour le premier semestre de l’année 2022 s’élève à 110.801. 152. 870 (100 pour cent) milliards de FCFA.
Productions du secteur extractif
Dans le secteur des hydrocarbures, les productions du premier semestre 2022, telles que déclarées par la direction des Hydrocarbures, Fortesa et l’acheteur SOCOCIM, ne concerne que le gaz naturel du projet DIENDER. La quantité déclarée est de 2 404 501 tonnes pour un valeur de 396 742 714,5 FCFA. Les productions de pétrole et de gaz (GTA) étant attendues au dernier trimestre 2023.
Pour ce qui est du secteur des mines, le détail des productions telles que déclarées par la direction générale des Mines et les entreprises est présenté à la section 5.3 et en annexe du rapport semestre 1 de l’année 2022. La valeur totale des 20 substances est 574 953 647 186 FCFA.
L’or, le ciment et le basalte constitue le trio de substances les plus produites avec respectivement un volume de 7,25 tonnes d’une valeur de 261 366 781 989 FCFA, un volume de 2 394 121 tonnes d’une valeur de 100 708 322 276 FCFA et un volume de 2 138 694 tonnes d’une valeur de 8 844 561 000 FCFA.
Au total, 07 sociétés pétrolières et 22 sociétés minières sont retenues dans le cadre de ce rapport du premier semestres 2022.
Cette affectation budgétaire laisse penser que l’Etat sénégalais a bien tiré profit de ses ressources extractives en termes de revenus encaissés par PETROSEN (310.912.356 FCFA) et de recettes encaissées par le Trésor public (93.597.715.322 FCFA), soit en somme 93.908.627.678 FCFA.
Mais, comparée à la valeur totale des productions du secteur extractif (396 742 714,5 FCFA pour le secteur des hydrocarbures et 574 953 647 186 FCFA pour les mines, soit en somme 575.350.389.900 FCFA), l’on peut se rendre compte que cette affectation budgétaire est très marginale par rapport au total des revenus générés (110.801. 152. 870 FCFA).
Si on fait la différence entre la valeur totale des productions du secteur extractif et le total des revenus générés, on rend compte que l’écrasante majorité de l’argent issu de la production du secteur extractif (464.549.237.030 FCFA) reste entre les mains des entreprises de production.
Au sujet de la répartition des revenus, le secteur minier s’offre la part du lion avec 99 358 855 945 FCFA (plus de 89 pour cent), le secteur des hydrocarbures ne générant que 9 034 115 028 FCFA (plus de 8 pour cent).
En ce qui concerne les paiements du secteur extractif (hors paiements sociaux), le total annoncé est de 108 392 970 973 FCFA (plus de 97 pour cent).
Par rapport aux paiements sociaux, l’ITIE avance un chiffre de 1 273 069 489 FCFA (plus de 1 pour cent). L’organisation précise que ce montant représente seulement les paiements sociaux du secteur minier, celui des hydrocarbures est néant. Aucune explication n’est fournie, mais l’on pourrait lier ce manque de paiements au fait qu’il n’y a pas encore de productions de pétrole et de gaz. Celles-ci sont attendues au dernier trimestre 2023.
Quant aux paiements environnementaux du secteur minier, le chiffre avancé est de 20 437 350 FCFA (0,02 pour cent). La garantie de réhabilitation des sites miniers versée à la -3Caisse des dépôts et de consignation (CDC) étant de 1 114 675 058 (1,01 pour cent).
Le total des paiements sociaux et environnementaux et garantie de réhabilitation des sites miniers s’élève à 2 408 181 897 FCFA (plus de 2 pour cent).
En somme, le total des revenus générés par le secteur extractif pour le premier semestre de l’année 2022 s’élève à 110.801. 152. 870 (100 pour cent) milliards de FCFA.
Productions du secteur extractif
Dans le secteur des hydrocarbures, les productions du premier semestre 2022, telles que déclarées par la direction des Hydrocarbures, Fortesa et l’acheteur SOCOCIM, ne concerne que le gaz naturel du projet DIENDER. La quantité déclarée est de 2 404 501 tonnes pour un valeur de 396 742 714,5 FCFA. Les productions de pétrole et de gaz (GTA) étant attendues au dernier trimestre 2023.
Pour ce qui est du secteur des mines, le détail des productions telles que déclarées par la direction générale des Mines et les entreprises est présenté à la section 5.3 et en annexe du rapport semestre 1 de l’année 2022. La valeur totale des 20 substances est 574 953 647 186 FCFA.
L’or, le ciment et le basalte constitue le trio de substances les plus produites avec respectivement un volume de 7,25 tonnes d’une valeur de 261 366 781 989 FCFA, un volume de 2 394 121 tonnes d’une valeur de 100 708 322 276 FCFA et un volume de 2 138 694 tonnes d’une valeur de 8 844 561 000 FCFA.
Au total, 07 sociétés pétrolières et 22 sociétés minières sont retenues dans le cadre de ce rapport du premier semestres 2022.