Le nouveau cadre normatif et institutionnel sénégalais relatif aux partenariats public-privé (PPP) suscite un grand intérêt pour les collectivités territoriales. La réaction massive des élus locaux à la suite de la présentation de ce dispositif juridique, aujourd’hui lors d’un atelier de sensibilisation qui leur est dédié, montre toute l’importance que ces derniers lui accordent.
Au cours des débats dirigés par le commandement territorial qui s’en ont suivi, les maires des communes de la région de Dakar et ses environs, après avoir salué la tenue de cet atelier organisé par le ministère de l’Economie, du Plan de la Coopération (MEPC), et affirmé leur ignorance de l’existence de ce cadre juridique et institutionnel, ont soulevé quelques préoccupations relativement à leurs projets d’infrastructures éducatives et sportives notamment à l’étude ou en cours, à leurs coûts et la faiblesse des ressources financières.
Ils cherchaient à savoir, entre autres, le temps nécessaire et vers qui se tourner pour la construction d’un stade municipal par exemple.
En réaction à ces interpellations, le directeur des financements et des partenariats public-privé et coordonnateur de l’Unité nationale d’appui aux partenariats public-privé (UNAPPP), Lamine Lô, a mis l’accent sur la justification et la faisabilité du projet. « Le projet doit obéir à une logique de l’investissement mais pas du cycle du temps électoral », a-t-il laisser entendre.
« Pour bénéficier d’un accompagnement, le porteur doit formuler son projet, bien le préparer et le structurer pour qu’il soit éligible. Le projet doit suivre le processus établi qui est gage de succès de qualité. Il faut faire du travail en amont, de préparation pour éviter tout risque d’échec », a-t-il insisté.
Ce processus part de l’identification à l’exécution du projet, en passant par la préparation et l’évaluation préalable et la passation du marché. Les détails ont été exposés aux participants. Ces derniers ont aussi bénéficié d’un exposé détaillé sur les innovations du nouveau cadre juridique, les caractéristiques, la classification d’un PPP et les modes d’acquisition traditionnels d’infrastructures.
A la question relative à l’emprunt obligataire sur le marché financier international, il a recommandé la prudence. « C’est un autre choix. Le marché est très exigeant. Il y a un risque. C’est la signature du Sénégal qui est en jeu. Il faudra alors faire preuve de prudence et se faire accompagner », a-t-il préconisé.
Au cours des débats dirigés par le commandement territorial qui s’en ont suivi, les maires des communes de la région de Dakar et ses environs, après avoir salué la tenue de cet atelier organisé par le ministère de l’Economie, du Plan de la Coopération (MEPC), et affirmé leur ignorance de l’existence de ce cadre juridique et institutionnel, ont soulevé quelques préoccupations relativement à leurs projets d’infrastructures éducatives et sportives notamment à l’étude ou en cours, à leurs coûts et la faiblesse des ressources financières.
Ils cherchaient à savoir, entre autres, le temps nécessaire et vers qui se tourner pour la construction d’un stade municipal par exemple.
En réaction à ces interpellations, le directeur des financements et des partenariats public-privé et coordonnateur de l’Unité nationale d’appui aux partenariats public-privé (UNAPPP), Lamine Lô, a mis l’accent sur la justification et la faisabilité du projet. « Le projet doit obéir à une logique de l’investissement mais pas du cycle du temps électoral », a-t-il laisser entendre.
« Pour bénéficier d’un accompagnement, le porteur doit formuler son projet, bien le préparer et le structurer pour qu’il soit éligible. Le projet doit suivre le processus établi qui est gage de succès de qualité. Il faut faire du travail en amont, de préparation pour éviter tout risque d’échec », a-t-il insisté.
Ce processus part de l’identification à l’exécution du projet, en passant par la préparation et l’évaluation préalable et la passation du marché. Les détails ont été exposés aux participants. Ces derniers ont aussi bénéficié d’un exposé détaillé sur les innovations du nouveau cadre juridique, les caractéristiques, la classification d’un PPP et les modes d’acquisition traditionnels d’infrastructures.
A la question relative à l’emprunt obligataire sur le marché financier international, il a recommandé la prudence. « C’est un autre choix. Le marché est très exigeant. Il y a un risque. C’est la signature du Sénégal qui est en jeu. Il faudra alors faire preuve de prudence et se faire accompagner », a-t-il préconisé.