Le Sénégal ne lâche pas du lest. Résolument engagé dans la relance de son économie nationale, à la suite d’une phase de résilience face aux impacts négatifs de la Covid-19 réussie, il est sur la voie de réaliser l’objectif du Plan d’Actions prioritaires ajusté et accéléré (PAP 2A) qui est de rétablir sa trajectoire initiale de croissance d’avant cette crise sanitaire.
D’ailleurs, selon le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, l’économie sénégalaise a enregistré en 2021 un rebond, avec un taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel estimé à 6,1% en 2021. Il a fait l’annonce ce matin lors de la cérémonie d’ouverture du « Dialogue politique sur les réformes » entre les gouvernements de la République fédérale d’Allemagne et sénégalais, une tribune tenue annuellement depuis l’entame du « Partenariat pour encourager les réformes » en 2019.
Cette politique de relance est portée par le PAP 2A qui consacre les nouvelles orientations stratégiques telles que les souverainetés alimentaire, sanitaire et pharmaceutique, la transformation industrielle et numérique ainsi que l’économie verte à travers notamment le PSE vert.
Des acquis que le gouvernement sénégalais compte consolider en 2022 avec les chantiers prioritaires entamés qui, selon le ministre, vont renforcer les bases productives et créer les conditions-cadres pour l’accroissement des investissements privés.
A cet égard, M. Hott a cité notamment (i) le Programme d’Accélération Compétitivité et Emplois qui adresse la compétitivité des entreprises et des chaînes de valeur ; (ii) la réforme et de l’aménagement des Zones économiques spéciales ; (iii) l’opérationnalisation des agropoles et du cadre juridique des partenariats public-privé (PPP) ; (iv) la mise en place du sous-fonds PME au niveau du FONSIS en partenariat avec l’Allemagne et du Fonds commun de placement à risque (FCPR).
Il a rappelé que le FCPR est un mécanisme de financement innovant qui permet la mobilisation de l’épargne du public et des institutionnels pour des investissements dans les projets PPP rentables. Selon lui, ce mécanisme a reçu l’agrément de l’Autorité de régulation des marchés financiers.
Il a fait savoir à la délégation allemande que le gouvernement sénégalais compte sur son soutien constant pour la mobilisation des ressources idoines pour appuyer toutes ces initiatives. A cet effet, il a souligné l’appui record de la République fédérale d’Allemagne au projet MADIBA dans le cadre du « Partenariat pour encourager les réformes », qui porte le volume total des engagements entre 2019 et 2021 à 462 millions d’euros, soit environ 303 milliards de FCFA. « Aujourd’hui, le défi est la concrétisation de ces allocations par la mobilisation effective des financements », a-t-il lancé à leur endroit.
« A cet égard, je voudrais inviter la coopération allemande à optimiser les délais d’instruction des projets ; en contrepartie, le gouvernement du Sénégal va engager les ministères sectoriels et les structures bénéficiaires à renforcer la diligence de la mise en œuvre desdits projets », a-t-il ajouté.
Les quatre domaines prioritaires du « Partenariat pour encourager les réformes » portent sur la législation du travail, la réforme foncière, l’accès au financement et le développement des micros, petites et moyennes entreprises, ainsi que la formation professionnelle.
A ces secteurs qui sont de véritables catalyseurs pour le développement du secteur privé, il s’y ajoute les domaines de la gouvernance et de l’énergie qui constituent des éléments clés d’attractivité d’un pays.
D’ailleurs, selon le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, l’économie sénégalaise a enregistré en 2021 un rebond, avec un taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel estimé à 6,1% en 2021. Il a fait l’annonce ce matin lors de la cérémonie d’ouverture du « Dialogue politique sur les réformes » entre les gouvernements de la République fédérale d’Allemagne et sénégalais, une tribune tenue annuellement depuis l’entame du « Partenariat pour encourager les réformes » en 2019.
Cette politique de relance est portée par le PAP 2A qui consacre les nouvelles orientations stratégiques telles que les souverainetés alimentaire, sanitaire et pharmaceutique, la transformation industrielle et numérique ainsi que l’économie verte à travers notamment le PSE vert.
Des acquis que le gouvernement sénégalais compte consolider en 2022 avec les chantiers prioritaires entamés qui, selon le ministre, vont renforcer les bases productives et créer les conditions-cadres pour l’accroissement des investissements privés.
A cet égard, M. Hott a cité notamment (i) le Programme d’Accélération Compétitivité et Emplois qui adresse la compétitivité des entreprises et des chaînes de valeur ; (ii) la réforme et de l’aménagement des Zones économiques spéciales ; (iii) l’opérationnalisation des agropoles et du cadre juridique des partenariats public-privé (PPP) ; (iv) la mise en place du sous-fonds PME au niveau du FONSIS en partenariat avec l’Allemagne et du Fonds commun de placement à risque (FCPR).
Il a rappelé que le FCPR est un mécanisme de financement innovant qui permet la mobilisation de l’épargne du public et des institutionnels pour des investissements dans les projets PPP rentables. Selon lui, ce mécanisme a reçu l’agrément de l’Autorité de régulation des marchés financiers.
Il a fait savoir à la délégation allemande que le gouvernement sénégalais compte sur son soutien constant pour la mobilisation des ressources idoines pour appuyer toutes ces initiatives. A cet effet, il a souligné l’appui record de la République fédérale d’Allemagne au projet MADIBA dans le cadre du « Partenariat pour encourager les réformes », qui porte le volume total des engagements entre 2019 et 2021 à 462 millions d’euros, soit environ 303 milliards de FCFA. « Aujourd’hui, le défi est la concrétisation de ces allocations par la mobilisation effective des financements », a-t-il lancé à leur endroit.
« A cet égard, je voudrais inviter la coopération allemande à optimiser les délais d’instruction des projets ; en contrepartie, le gouvernement du Sénégal va engager les ministères sectoriels et les structures bénéficiaires à renforcer la diligence de la mise en œuvre desdits projets », a-t-il ajouté.
Les quatre domaines prioritaires du « Partenariat pour encourager les réformes » portent sur la législation du travail, la réforme foncière, l’accès au financement et le développement des micros, petites et moyennes entreprises, ainsi que la formation professionnelle.
A ces secteurs qui sont de véritables catalyseurs pour le développement du secteur privé, il s’y ajoute les domaines de la gouvernance et de l’énergie qui constituent des éléments clés d’attractivité d’un pays.