Le ministre sénégalais de l’Economie, du Plan et la Coopération, Amadou Hott, a rappelé, aujourd’hui à Dakar, le programme de coopération bilatérale avec les Etats-unis d’Amérique, qui s’est beaucoup intensifié au fil des années.
Ainsi, sur la période 2015-2018, il a évoqué les quatre accords d’assistance d’un montant global de 465,736 millions de dollars Us, soit plus de 232 milliards 868 millions FCFA qui ont été signés.
«Par ces accords, les Etats-Unis confirment la pertinence de la vision qui sous-tend le Plan Sénégal Emergent (PSE)», a-t-il souligné au cours de la revue finale de la stratégie pays 2015-2020 entre le Sénégal et les Etats-unis d’Amérique.
Ce partenariat bilatéral concerne plus particulièrement des secteurs stratégiques dont l’éducation, la santé et la croissance économique qui recoupent les trois axes stratégiques du PSE.
Dans le secteur de l’éducation, il a rappelé la contribution financière de l’USAID qui a permis d’enregistrer des avancées significatives en dépit de la persistance de certaines difficultés qu’il n’a pas précisées.
Dans le secteur de la santé qui reçoit la plus grande part du budget du programme (47%), il a fait état des progrès notables qui ont été également relevés tout en signalant les défis à relever. «Cependant, ces résultats appréciables ne doivent pas occulter les défis auxquels le secteur de la santé reste confronté notamment la mobilisation des ressources internes et la disponibilité des produits», a-t-il relativisé.
Pour le programme Croissance Economique, sa mise en œuvre, basée sur l’approche innovante de chaîne de valeur inclusive, il dit être satisfait, notamment à travers le projet « NaatalMbay », un projet phare du portefeuille « Feed the Future ».
En effet, selon lui, les revenus annuels des ménages des zones d’intervention de « NaatalMbay » ont augmenté de près de 600.000 F CFA par an.
En plus de ces résultats, le ministre a invité l’USAID et l’ensemble des acteurs du programme de coopération à aider ses services à disposer régulièrement d’informations sur les flux d’aide pour permettre d’avoir une situation exhaustive du portefeuille.
Pour lui, cela constituerait également un moyen de rendre plus visible les contributions du gouvernement américain au développement socio-économique de notre pays.
Ainsi, sur la période 2015-2018, il a évoqué les quatre accords d’assistance d’un montant global de 465,736 millions de dollars Us, soit plus de 232 milliards 868 millions FCFA qui ont été signés.
«Par ces accords, les Etats-Unis confirment la pertinence de la vision qui sous-tend le Plan Sénégal Emergent (PSE)», a-t-il souligné au cours de la revue finale de la stratégie pays 2015-2020 entre le Sénégal et les Etats-unis d’Amérique.
Ce partenariat bilatéral concerne plus particulièrement des secteurs stratégiques dont l’éducation, la santé et la croissance économique qui recoupent les trois axes stratégiques du PSE.
Dans le secteur de l’éducation, il a rappelé la contribution financière de l’USAID qui a permis d’enregistrer des avancées significatives en dépit de la persistance de certaines difficultés qu’il n’a pas précisées.
Dans le secteur de la santé qui reçoit la plus grande part du budget du programme (47%), il a fait état des progrès notables qui ont été également relevés tout en signalant les défis à relever. «Cependant, ces résultats appréciables ne doivent pas occulter les défis auxquels le secteur de la santé reste confronté notamment la mobilisation des ressources internes et la disponibilité des produits», a-t-il relativisé.
Pour le programme Croissance Economique, sa mise en œuvre, basée sur l’approche innovante de chaîne de valeur inclusive, il dit être satisfait, notamment à travers le projet « NaatalMbay », un projet phare du portefeuille « Feed the Future ».
En effet, selon lui, les revenus annuels des ménages des zones d’intervention de « NaatalMbay » ont augmenté de près de 600.000 F CFA par an.
En plus de ces résultats, le ministre a invité l’USAID et l’ensemble des acteurs du programme de coopération à aider ses services à disposer régulièrement d’informations sur les flux d’aide pour permettre d’avoir une situation exhaustive du portefeuille.
Pour lui, cela constituerait également un moyen de rendre plus visible les contributions du gouvernement américain au développement socio-économique de notre pays.