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Le climat des affaires s’est dégradé au mois de novembre 2018, en variation mensuelle, note la DPEE dans son ‘’Point mensuel de conjoncture novembre 2018’’ publié ce début janvier 2019.
«En effet, l’indicateur qui le synthétise, calculé sur la base des soldes d’opinion des chefs d’entreprises, a reculé de 0,5 point pour se retrouver légèrement en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation reflète les orientations défavorables des opinions respectives des industriels et des commerçants. Sur un an, l’indicateur de climat des affaires a progressé de 0,5 point, en novembre 2018», explique cette structure du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.
Dans l’industrie, la DPEE rapporte que la majorité des industriels interrogés ont indiqué la concurrence supposée déloyale (36 pour cent), les difficultés de recouvrement des créances (36 pour cent) et l’insuffisance de la demande (26 pour cent) comme les principales difficultés, durant le mois de novembre 2018.
Par ailleurs, elle note une détérioration du climat des affaires dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les opinions respectives défavorables des industriels sur la production et les perspectives d’emploi de main d’œuvre. «En perspectives, la majorité des enquêtés anticipe une hausse de leur production au terme du mois de décembre 2018», souligne-t-elle.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, elle relève les difficultés de recouvrement des créances (100 pour cent), l’accès difficile au crédit (40 pour cent) et la vétusté de certains des équipements (40 pour cent) qui sont les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés.
«Néanmoins, le climat conjoncturel s’est globalement amélioré dans le sous-secteur, entre octobre et novembre 2018, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion relatifs aux commandes publiques et privées», nuance-t-elle. «En outre, l’optimisme des enquêtés quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) et d’emploi de main d’œuvre a, également, contribué à la progression de l’indicateur de climat des affaires du sous-secteur», ajoute-t-elle.
Au titre des services, elle fait état des difficultés de recouvrement des créances (60 pour cent), de la concurrence jugée déloyale (50 pour cent) et de la fiscalité (25 pour cent) qui sont majoritairement ressorties des réponses des enquêtés. Pour la DPEE, ces difficultés constituent les principales entraves à l’activité, au mois de novembre 2018.
«Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré dans le sous-secteur, en rythme mensuel, et est passé légèrement au-dessus de sa moyenne de long terme», relativise-t-elle. «En effet, les soldes d’opinion relatifs aux tarifs pratiqués, aux commandes et aux perspectives de chiffres d’affaires se sont, particulièrement, bien orientés», explique-t-elle.
S’agissant du commerce, elle note les difficultés de recouvrement des créances (57 pour cent), les difficultés d’approvisionnement (43 pour cent) et la fiscalité (29 pour cent) qui sont principalement évoqués par les chefs d’entreprises enquêtés comme contraintes à l’activité, au mois de novembre 2018.
«Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-2,4 points) en rythme mensuel et s’est établi en dessous de sa moyenne de long terme, de fait de l’orientation particulièrement défavorable de l’opinion des commerçants sur leurs chiffres d’affaires», conclue la DPEE sur cette question.
«En effet, l’indicateur qui le synthétise, calculé sur la base des soldes d’opinion des chefs d’entreprises, a reculé de 0,5 point pour se retrouver légèrement en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation reflète les orientations défavorables des opinions respectives des industriels et des commerçants. Sur un an, l’indicateur de climat des affaires a progressé de 0,5 point, en novembre 2018», explique cette structure du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.
Dans l’industrie, la DPEE rapporte que la majorité des industriels interrogés ont indiqué la concurrence supposée déloyale (36 pour cent), les difficultés de recouvrement des créances (36 pour cent) et l’insuffisance de la demande (26 pour cent) comme les principales difficultés, durant le mois de novembre 2018.
Par ailleurs, elle note une détérioration du climat des affaires dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les opinions respectives défavorables des industriels sur la production et les perspectives d’emploi de main d’œuvre. «En perspectives, la majorité des enquêtés anticipe une hausse de leur production au terme du mois de décembre 2018», souligne-t-elle.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, elle relève les difficultés de recouvrement des créances (100 pour cent), l’accès difficile au crédit (40 pour cent) et la vétusté de certains des équipements (40 pour cent) qui sont les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés.
«Néanmoins, le climat conjoncturel s’est globalement amélioré dans le sous-secteur, entre octobre et novembre 2018, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion relatifs aux commandes publiques et privées», nuance-t-elle. «En outre, l’optimisme des enquêtés quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) et d’emploi de main d’œuvre a, également, contribué à la progression de l’indicateur de climat des affaires du sous-secteur», ajoute-t-elle.
Au titre des services, elle fait état des difficultés de recouvrement des créances (60 pour cent), de la concurrence jugée déloyale (50 pour cent) et de la fiscalité (25 pour cent) qui sont majoritairement ressorties des réponses des enquêtés. Pour la DPEE, ces difficultés constituent les principales entraves à l’activité, au mois de novembre 2018.
«Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré dans le sous-secteur, en rythme mensuel, et est passé légèrement au-dessus de sa moyenne de long terme», relativise-t-elle. «En effet, les soldes d’opinion relatifs aux tarifs pratiqués, aux commandes et aux perspectives de chiffres d’affaires se sont, particulièrement, bien orientés», explique-t-elle.
S’agissant du commerce, elle note les difficultés de recouvrement des créances (57 pour cent), les difficultés d’approvisionnement (43 pour cent) et la fiscalité (29 pour cent) qui sont principalement évoqués par les chefs d’entreprises enquêtés comme contraintes à l’activité, au mois de novembre 2018.
«Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-2,4 points) en rythme mensuel et s’est établi en dessous de sa moyenne de long terme, de fait de l’orientation particulièrement défavorable de l’opinion des commerçants sur leurs chiffres d’affaires», conclue la DPEE sur cette question.
