“La rémunération des apporteurs de capitaux extérieurs mesurée par le poids des frais financiers dans la valeur ajoutée globale est restée stable en 2017 avec 10,3 pour cent”, note-t-elle, précisant que ce taux est invariable dans les industries avec 12,7 pour cent et s’est abaissé de 2,5 points dans les BTP (9,6 pour cent) et de 0,1 point dans le commerce (16,6 pour cent). En revanche, elle note une appréciation de 0,3 point dans les services (7,7 pour cent).
Un recul de la part de l’autofinancement dans la répartition de richesse
“Malgré la légère progression de l’excédent brut d’exploitation (+3,7 pour cent), la part des dividendes et de l’autofinancement dans la valeur ajoutée globale s’est dépréciée de 1,8 point”, souligne le document.
“Elle s’est établie à 32,3 pour cent en 2017 contre 34,1 pour cent en 2016, réduisant les capacités des entreprises à autofinancer les investissements et à rémunérer les apporteurs de fonds”, explique-t-il.
Selon la même source, elle a chuté dans trois macro-secteurs, à savoir les industries (-4,0 points), le commerce (-5,4 points) et les services (-0,4 point). Par contre, elle s’est améliorée dans le secteur des BTP (+6,1 points).
Un recul de la part de l’autofinancement dans la répartition de richesse
“Malgré la légère progression de l’excédent brut d’exploitation (+3,7 pour cent), la part des dividendes et de l’autofinancement dans la valeur ajoutée globale s’est dépréciée de 1,8 point”, souligne le document.
“Elle s’est établie à 32,3 pour cent en 2017 contre 34,1 pour cent en 2016, réduisant les capacités des entreprises à autofinancer les investissements et à rémunérer les apporteurs de fonds”, explique-t-il.
Selon la même source, elle a chuté dans trois macro-secteurs, à savoir les industries (-4,0 points), le commerce (-5,4 points) et les services (-0,4 point). Par contre, elle s’est améliorée dans le secteur des BTP (+6,1 points).