De prime abord, le document insiste sur la progression de la croissance économique depuis sur ces trois dernières années. «Pour la première fois depuis 1980, le pays enregistre une moyenne de croissance économique de 6,6 pour cent sur la période-2014-2018 contre 3 pour cent sur la période 2009-2013», note-t-il avec une liste de chiffres.
Et ceci, dans un contexte de maîtrise de l’inflation et de réduction constante du déficit budgétaire qui, de 6,7 pour cent en 2011, a été ramené à 4,2 pour cent en 2016, 3,7 pour cent en 2017, 3,5 pour cent en 2018 et projeté à 3 pour cent en 2019.
Selon le texte, le solde du compte courant de la balance des paiements poursuit sa tendance baissière de 8,6 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en 2012 à 4,2 pour cent du PIB en 2016 grâce à une augmentation plus rapide des exportations par rapport aux importations. La remontée observée en 2017 (7,2 pour cent) et 2018 (7,6 pour cent) est imputable au renchérissement des cours du pétrole
D’après cette source, les indicateurs monétaires sont satisfaisants comparativement à la période d’avant avril 2012.
«La circulation fiduciaire qui, en lieu et place d’un repli de 3,5 milliards de FCFA entre 2010 et 2011 où elle s’est située à 584,6 milliards de FCFA, s’est consolidée de 2012 à 2018 (octobre 2018) pour atteindre 1 188,6 milliards FCFA, soit un doublement», explique-t-on dans le document.
Il en est de même de la masse monétaire qui aura atteint 4 971 milliards FCFA en octobre 2018 alors qu’elle s’était établie à 2 712,7 milliards de FCFA en 2011, soit un accroissement de 2 258,3 milliards de FCFA en valeur absolue et de 83,2 pour cent en valeur relative.
Dans cet élan, le document note que les crédits à l’économie en octobre 2018 ont plus que doubler puisque ayant atteint 4 191 milliards FCFA en octobre 2018 en dépit de la prudence observée sur l’activité de crédit liée notamment aux réformes Bâle 2 et 3. Alors que les crédits à l’économie n’ont guère atteint 2 000 milliards (1 953 milliards de FCFA en 2011) traduisant un déficit de financement de l’économie.
Ces performances économiques enregistrées sont attribués au secteur primaire
(11,7 pour cent), au secteur tertiaire (7 pour cent) et aux taxes nettes sur biens et services (7 pour cent), bref des secteurs à forte capacité redistributive puisque regroupant plus des 2/3 de la population sénégalaise.
Le document cite ainsi le secteur primaire qui progresse régulièrement à la faveur de la bonne tenue de l'agriculture qui affiche une hausse de 16,1 pour cent. Le dynamisme de l'agriculture est le résultat d'une pluviométrie bien répartie dans le temps et dans l'espace, combinée à une distribution satisfaisante d'intrants (engrais et semences), un équipement des producteurs et une meilleure maîtrise de l’eau.
Il souligne aussi la valeur ajoutée du secteur tertiaire qui augmente de 7 pour cent. Cette croissance est tirée par les transports, le tourisme, les services financiers et les activités immobilières. Le commerce et les télécommunications affichent des taux de croissance respectifs de 5,2 pour cent et 1,8 pour cent.
Et ceci, dans un contexte de maîtrise de l’inflation et de réduction constante du déficit budgétaire qui, de 6,7 pour cent en 2011, a été ramené à 4,2 pour cent en 2016, 3,7 pour cent en 2017, 3,5 pour cent en 2018 et projeté à 3 pour cent en 2019.
Selon le texte, le solde du compte courant de la balance des paiements poursuit sa tendance baissière de 8,6 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en 2012 à 4,2 pour cent du PIB en 2016 grâce à une augmentation plus rapide des exportations par rapport aux importations. La remontée observée en 2017 (7,2 pour cent) et 2018 (7,6 pour cent) est imputable au renchérissement des cours du pétrole
D’après cette source, les indicateurs monétaires sont satisfaisants comparativement à la période d’avant avril 2012.
«La circulation fiduciaire qui, en lieu et place d’un repli de 3,5 milliards de FCFA entre 2010 et 2011 où elle s’est située à 584,6 milliards de FCFA, s’est consolidée de 2012 à 2018 (octobre 2018) pour atteindre 1 188,6 milliards FCFA, soit un doublement», explique-t-on dans le document.
Il en est de même de la masse monétaire qui aura atteint 4 971 milliards FCFA en octobre 2018 alors qu’elle s’était établie à 2 712,7 milliards de FCFA en 2011, soit un accroissement de 2 258,3 milliards de FCFA en valeur absolue et de 83,2 pour cent en valeur relative.
Dans cet élan, le document note que les crédits à l’économie en octobre 2018 ont plus que doubler puisque ayant atteint 4 191 milliards FCFA en octobre 2018 en dépit de la prudence observée sur l’activité de crédit liée notamment aux réformes Bâle 2 et 3. Alors que les crédits à l’économie n’ont guère atteint 2 000 milliards (1 953 milliards de FCFA en 2011) traduisant un déficit de financement de l’économie.
Ces performances économiques enregistrées sont attribués au secteur primaire
(11,7 pour cent), au secteur tertiaire (7 pour cent) et aux taxes nettes sur biens et services (7 pour cent), bref des secteurs à forte capacité redistributive puisque regroupant plus des 2/3 de la population sénégalaise.
Le document cite ainsi le secteur primaire qui progresse régulièrement à la faveur de la bonne tenue de l'agriculture qui affiche une hausse de 16,1 pour cent. Le dynamisme de l'agriculture est le résultat d'une pluviométrie bien répartie dans le temps et dans l'espace, combinée à une distribution satisfaisante d'intrants (engrais et semences), un équipement des producteurs et une meilleure maîtrise de l’eau.
Il souligne aussi la valeur ajoutée du secteur tertiaire qui augmente de 7 pour cent. Cette croissance est tirée par les transports, le tourisme, les services financiers et les activités immobilières. Le commerce et les télécommunications affichent des taux de croissance respectifs de 5,2 pour cent et 1,8 pour cent.