«Au-delà du relèvement substantiel de la croissance économique et de la réduction progressive du déficit budgétaire, il a été noté une amélioration des conditions de vie des populations, particulièrement les couches les plus vulnérables à travers, notamment, les programmes sociaux tels que la Couverture maladie universelle, les Bourses de sécurité familiales et le Programme d’Urgence de Développement communautaire (PUDC)», lit-on dans le projet de loi des finances 2019.
Selon le document, sur la période 2014-2018, le taux de croissance moyen annuel a atteint 6.2 pour cent contre 3.3 pour cent sur la période 2009-2013. «Cette croissance a été principalement portée à la fois par la consommation, les exportations et l’investissement. La demande intérieure a été très dynamique, essentiellement tirée par les dépenses publiques et les revenus des ménages, y compris les transferts de fonds des migrants», explique-t-il.
«L’investissement s'est inscrit sur une tendance haussière, avec une croissance moyenne de 7.6 pour cent sur la période 2014-2018 contre 5.4 pour cent sur la période antérieure, à la faveur principalement du dynamisme du secteur privé. Les exportations ont également connu une forte progression avec un taux de 9 pour cent en moyenne sur la période 2014 – 2018 contre 7 pour cent de croissance de 2009 à 2013», poursuit-il.
Le Plan d’actions prioritaires (PAP) de la phase II du PSE entend maintenir cette dynamique pour la période 2019-2023.
Selon le document, sur la période 2014-2018, le taux de croissance moyen annuel a atteint 6.2 pour cent contre 3.3 pour cent sur la période 2009-2013. «Cette croissance a été principalement portée à la fois par la consommation, les exportations et l’investissement. La demande intérieure a été très dynamique, essentiellement tirée par les dépenses publiques et les revenus des ménages, y compris les transferts de fonds des migrants», explique-t-il.
«L’investissement s'est inscrit sur une tendance haussière, avec une croissance moyenne de 7.6 pour cent sur la période 2014-2018 contre 5.4 pour cent sur la période antérieure, à la faveur principalement du dynamisme du secteur privé. Les exportations ont également connu une forte progression avec un taux de 9 pour cent en moyenne sur la période 2014 – 2018 contre 7 pour cent de croissance de 2009 à 2013», poursuit-il.
Le Plan d’actions prioritaires (PAP) de la phase II du PSE entend maintenir cette dynamique pour la période 2019-2023.