A cet effet, des efforts sont en cours pour mettre en place une infrastructure adéquate pour l’évacuation du pétrole qui sera produit dans le bassin du lac Albert.
Le projet semblait aller de l’avant lorsque l’Ouganda et la Tanzanie ont échangé en mai 2017 l’accord intergouvernemental relatif à l’Oléoduc pour l’Afrique de l’Est, d’une longueur de 1,443 km.
Cependant, les partenaires de la construction de ce pipeline, le groupe français Total, le chinois CNOOC et Tullow Oil, doivent encore en prendre la décision finale d’investissement.
Dans le même temps, les accords avec les gouvernements hôtes doivent être signés en janvier, mais les retards dans la conclusion de l’accord financier ont déjà retardé les ambitions de production pétrolière de l’Ouganda de 2020 à 2021.
L’oléoduc est crucial pour l’intégration future de la communauté de l’Afrique de l’Est et pour établir un précédent positif de planification, de financement et de mise en œuvre de projets énergétiques conjoints dans la région.
Source : Equonet avec la Chambre africaine de l'énergie
Le projet semblait aller de l’avant lorsque l’Ouganda et la Tanzanie ont échangé en mai 2017 l’accord intergouvernemental relatif à l’Oléoduc pour l’Afrique de l’Est, d’une longueur de 1,443 km.
Cependant, les partenaires de la construction de ce pipeline, le groupe français Total, le chinois CNOOC et Tullow Oil, doivent encore en prendre la décision finale d’investissement.
Dans le même temps, les accords avec les gouvernements hôtes doivent être signés en janvier, mais les retards dans la conclusion de l’accord financier ont déjà retardé les ambitions de production pétrolière de l’Ouganda de 2020 à 2021.
L’oléoduc est crucial pour l’intégration future de la communauté de l’Afrique de l’Est et pour établir un précédent positif de planification, de financement et de mise en œuvre de projets énergétiques conjoints dans la région.
Source : Equonet avec la Chambre africaine de l'énergie