Trois conventions de financement de projets portant sur les secteurs agricoles et de l’enseignement supérieur ont été signées aujourd’hui par le ministre sénégalais de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott et Namson Lee, représentante résidente de la Koica à Dakar.
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, ce financement qui est accordé sous forme de dons devrait contribuer au renforcement des secteurs agricoles et de l’Enseignement supérieur, par le renforcement des capacités des acteurs, en vue de réduire le chômage et en créant des emplois décents pour les femmes et les jeunes.
D’un montant de 11,5 milliards Fcfa, ce financement est réparti comme suit : 11 millions de dollars US pour la seconde phase du projet de développement de la chaîne de valeur du riz à Podor ; 2,5 millions de dollars US pour le projet de village pilote Saemaul et 7,5 millions de dollars US pour le projet d’établissement d’un centre d’incubation et d’un makerspace au Sénégal.
L’objectif des deux nouveaux projets agricoles est de contribuer à l’atteinte de l’autosuffisance en riz au Sénégal. Les principaux composants de ces projets sont : i) la construction d’infrastructure post-récolte ; ii) l’acquisition d’équipements agricoles ; iii) l’accès aux services financiers adaptés ; iv) le renforcement des capacités et v) l’amélioration de l’environnement des villageois.
La Koica vise également à soutenir le secteur de l'enseignement supérieur sénégalais en contribuant à la création d'une main-d'œuvre qualifiée - liée à l'établissement de l'ISEP Diamniadio - et à la promotion de l'entreprenariat des jeunes. À cet égard, le nouveau projet d’établissement d’un centre d’incubation et d’un makerspace au Sénégal, va contribuer au développement de l'économie numérique et des start-ups technologiques en favorisant la présence d'un écosystème pour les jeunes sénégalais talentueux. Les principaux composants de ce projet sont : i) l’autonomisation des jeunes grâce à l’entreprenariat ; ii) Mise en place d’un mécanisme de soutien des start-up et iii) création de makerspace.
«Je crois fortement que ces nouveaux financements renforcent le portefeuille de projet de notre excellente coopération. A l’instar de nos autres projets, je souhaite à ces interventions un excellent déroulement et de répondre aux besoins des acteurs en produisant les résultats positifs attendus par les bénéficiaires. Je terminerai mon discours en magnifiant très vivement le dynamisme de la coopération entre nos deux pays avec l’espoir que ce partenariat restera fort et durable. Je tiens à vous féliciter tous à cette occasion et à vous assurer que compte tenu des 30 années d’expériences et de succès communs, notre partenariat sera encore plus renforcé à l’avenir», a déclaré Namsoon Lee, représentante résidente de la Koica.
Pour sa part, le ministre Amadou Hott a déclaré : «je dois saisir cette opportunité pour rappeler que la vitalité de la coopération sénégalo-coréenne s’affirme depuis plus d’une trentaine d’années. Un des éléments révélateurs réside dans le fait que notre pays figure dans la liste des pays partenaires prioritaires.
«Il me plait également de magnifier la diversité des domaines et des modes d’intervention de la coopération coréenne dans notre pays. En effet, ces domaines embrassent le développement rural, l’entreprenariat, le transport, la santé ainsi que l’énergie et les technologies de l’information et de la communication. Les modes d’interventions portent sur des subventions aux projets/programmes, mais aussi des emprunts à des conditions préférentielles.
«En ces temps difficiles pour toutes les nations, je salue la constance de l’engagement de la KOICA dans la lutte contre la pauvreté et le développement humain en général.
«Sur la base d’une coopération aussi étroite, nous envisageons la signature d’un accord-cadre de coopération qui va améliorer l’efficacité de l’aide avec une liste de projets sélectionnés, conformément au Programme d’Actions Prioritaires Ajusté et Accéléré (PAP 2A) du Plan Sénégal Emergent.»
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, ce financement qui est accordé sous forme de dons devrait contribuer au renforcement des secteurs agricoles et de l’Enseignement supérieur, par le renforcement des capacités des acteurs, en vue de réduire le chômage et en créant des emplois décents pour les femmes et les jeunes.
D’un montant de 11,5 milliards Fcfa, ce financement est réparti comme suit : 11 millions de dollars US pour la seconde phase du projet de développement de la chaîne de valeur du riz à Podor ; 2,5 millions de dollars US pour le projet de village pilote Saemaul et 7,5 millions de dollars US pour le projet d’établissement d’un centre d’incubation et d’un makerspace au Sénégal.
L’objectif des deux nouveaux projets agricoles est de contribuer à l’atteinte de l’autosuffisance en riz au Sénégal. Les principaux composants de ces projets sont : i) la construction d’infrastructure post-récolte ; ii) l’acquisition d’équipements agricoles ; iii) l’accès aux services financiers adaptés ; iv) le renforcement des capacités et v) l’amélioration de l’environnement des villageois.
La Koica vise également à soutenir le secteur de l'enseignement supérieur sénégalais en contribuant à la création d'une main-d'œuvre qualifiée - liée à l'établissement de l'ISEP Diamniadio - et à la promotion de l'entreprenariat des jeunes. À cet égard, le nouveau projet d’établissement d’un centre d’incubation et d’un makerspace au Sénégal, va contribuer au développement de l'économie numérique et des start-ups technologiques en favorisant la présence d'un écosystème pour les jeunes sénégalais talentueux. Les principaux composants de ce projet sont : i) l’autonomisation des jeunes grâce à l’entreprenariat ; ii) Mise en place d’un mécanisme de soutien des start-up et iii) création de makerspace.
«Je crois fortement que ces nouveaux financements renforcent le portefeuille de projet de notre excellente coopération. A l’instar de nos autres projets, je souhaite à ces interventions un excellent déroulement et de répondre aux besoins des acteurs en produisant les résultats positifs attendus par les bénéficiaires. Je terminerai mon discours en magnifiant très vivement le dynamisme de la coopération entre nos deux pays avec l’espoir que ce partenariat restera fort et durable. Je tiens à vous féliciter tous à cette occasion et à vous assurer que compte tenu des 30 années d’expériences et de succès communs, notre partenariat sera encore plus renforcé à l’avenir», a déclaré Namsoon Lee, représentante résidente de la Koica.
Pour sa part, le ministre Amadou Hott a déclaré : «je dois saisir cette opportunité pour rappeler que la vitalité de la coopération sénégalo-coréenne s’affirme depuis plus d’une trentaine d’années. Un des éléments révélateurs réside dans le fait que notre pays figure dans la liste des pays partenaires prioritaires.
«Il me plait également de magnifier la diversité des domaines et des modes d’intervention de la coopération coréenne dans notre pays. En effet, ces domaines embrassent le développement rural, l’entreprenariat, le transport, la santé ainsi que l’énergie et les technologies de l’information et de la communication. Les modes d’interventions portent sur des subventions aux projets/programmes, mais aussi des emprunts à des conditions préférentielles.
«En ces temps difficiles pour toutes les nations, je salue la constance de l’engagement de la KOICA dans la lutte contre la pauvreté et le développement humain en général.
«Sur la base d’une coopération aussi étroite, nous envisageons la signature d’un accord-cadre de coopération qui va améliorer l’efficacité de l’aide avec une liste de projets sélectionnés, conformément au Programme d’Actions Prioritaires Ajusté et Accéléré (PAP 2A) du Plan Sénégal Emergent.»