Les smartphones soutenaient les flux migratoires en offrant aux migrants un accès à des informations en ligne avant et pendant le voyage et à leur arrivée dans leur pays de destination. C’est le constat de Moha Ennaji, professeur, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah et son collègue Filippo Bignami qui, dans une étude récente, ont enquêté sur le rôle des smartphones dans la migration irrégulière.
Ces chercheurs voulaient savoir comment ils aidaient les migrants à atteindre leur destination et à quel type d'informations les migrants avaient accès en les utilisant. Ils se sont concentrés sur les migrants subsahariens arrivant au Maroc, en particulier dans la ville de Fès, en route vers l'Europe.
D’après ces chercheurs, les smartphones ont affecté leurs itinéraires de migration et le choix de leur destination finale. Ils ont également aidé les migrants à partager des informations entre eux.
Ils notent que les smartphones étaient également utilisés par les trafiquants. Ils leur ont permis de contacter les migrants en situation irrégulière potentiels et de leur fournir des informations.
«D'après ce que nous avons vu, les smartphones sont de plus en plus utilisés pour minimiser les risques et relever les défis de la migration. Les décideurs peuvent utiliser ces informations pour mieux accompagner leur voyage et assurer leur sécurité en les engageant via des applications pour smartphones», soulignent-ils.
Pour les migrants sans papiers et les réfugiés qui se rendent dans de nouveaux pays, des informations précises sont vitales. Pour cette raison, les smartphones - des téléphones portables qui remplissent de nombreuses fonctions d'un ordinateur, comme l'accès à Internet - sont devenus un outil important. Ils permettent aux migrants d'accéder à des applications telles que Google Maps, WhatsApp, Facebook et Twitter. Ceux-ci peuvent leur fournir des informations provenant des médias sociaux et des contacts étroits.
Lire plus : https://theconversation.com/insights-from-morocco-into-how-smartphones-support-migration-147513
Ces chercheurs voulaient savoir comment ils aidaient les migrants à atteindre leur destination et à quel type d'informations les migrants avaient accès en les utilisant. Ils se sont concentrés sur les migrants subsahariens arrivant au Maroc, en particulier dans la ville de Fès, en route vers l'Europe.
D’après ces chercheurs, les smartphones ont affecté leurs itinéraires de migration et le choix de leur destination finale. Ils ont également aidé les migrants à partager des informations entre eux.
Ils notent que les smartphones étaient également utilisés par les trafiquants. Ils leur ont permis de contacter les migrants en situation irrégulière potentiels et de leur fournir des informations.
«D'après ce que nous avons vu, les smartphones sont de plus en plus utilisés pour minimiser les risques et relever les défis de la migration. Les décideurs peuvent utiliser ces informations pour mieux accompagner leur voyage et assurer leur sécurité en les engageant via des applications pour smartphones», soulignent-ils.
Pour les migrants sans papiers et les réfugiés qui se rendent dans de nouveaux pays, des informations précises sont vitales. Pour cette raison, les smartphones - des téléphones portables qui remplissent de nombreuses fonctions d'un ordinateur, comme l'accès à Internet - sont devenus un outil important. Ils permettent aux migrants d'accéder à des applications telles que Google Maps, WhatsApp, Facebook et Twitter. Ceux-ci peuvent leur fournir des informations provenant des médias sociaux et des contacts étroits.
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