Pour cette fois, le gouvernement, les centrales syndicales des travailleurs et les organisations patronales semblent être déterminés à doubler d’efforts pour atteindre des résultats probants en matière de promotion du travail décent.
Au cours de la signature d’un Protocole qui les y engage, ces trois parties ont affiché leur ambition et volonté à tout faire pour une mise en œuvre correcte du PPTD 2018-2020 dont le budget prévisionnel est de l’ordre de 867 277 800 FCFA. «Nous allons nous évertuer à tout faire pour y arriver», a dit le ministre en charge des Organisations professionnelles.
Les représentants des organisations syndicales et patronales ont également manifesté leur engagement à la réussite de ce programme.
Si ces différentes parties ont pris autant d’engagements, c’est parce qu’elles veulent éviter que l’échec du précédent PPTD 2012-2016 ne se reproduise. En effet, ces signataires reconnaissent, sous fond de regret, que ce programme n’a pas atteint les résultats escomptés.
La principale raison évoquée est le déficit des ressources financières ; l’autre difficulté importante étant l’inexistence d’un organe chargé de sa mise en œuvre. Des défis qu’ils entendent relever ensemble pour la réussite du nouveau Programme pays pour le travail décent.
Au cours de la signature d’un Protocole qui les y engage, ces trois parties ont affiché leur ambition et volonté à tout faire pour une mise en œuvre correcte du PPTD 2018-2020 dont le budget prévisionnel est de l’ordre de 867 277 800 FCFA. «Nous allons nous évertuer à tout faire pour y arriver», a dit le ministre en charge des Organisations professionnelles.
Les représentants des organisations syndicales et patronales ont également manifesté leur engagement à la réussite de ce programme.
Si ces différentes parties ont pris autant d’engagements, c’est parce qu’elles veulent éviter que l’échec du précédent PPTD 2012-2016 ne se reproduise. En effet, ces signataires reconnaissent, sous fond de regret, que ce programme n’a pas atteint les résultats escomptés.
La principale raison évoquée est le déficit des ressources financières ; l’autre difficulté importante étant l’inexistence d’un organe chargé de sa mise en œuvre. Des défis qu’ils entendent relever ensemble pour la réussite du nouveau Programme pays pour le travail décent.