Wave digital finance accentue la lutte contre la fraude et l’arnaque. En vue d’accroître le facteur confiance des usagers des services financiers numériques, sa direction générale, à travers un accord de partenariat avec la Police nationale et les forces de sécurité, entend optimiser la coopération avec la mise en place d’un protocole de veille, d’alerte et de réponse rapide pour la conduite des enquêtes face aux nouvelles tendances en matière de cybercriminalité, à savoir les transactions illicites, le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Coura Tine Sène, directrice Afrique Wave digital finance, l’a fait savoir aux représentants des organisations de défense des consommateurs et des médias, lors de la conférence annuelle sur l'expérience utilisateurs des services de paiements mobiles.
A cette rencontre d’échanges annuelle tenus hier à Dakar, elle a indiqué que ce dispositif permettra de baisser encore plus le ratio du taux de fraude et d’arnaque. Selon lui, il est largement inférieur à 1 pour cent et se situe en 2022 à 0,0056 pour cent du volume de transactions, pour une plateforme qui gère 3,5 millions d’utilisateurs par jour.
La direction générale de Wave Sénégal se montre plus ambitieuse. Au-delà des aspects sécuritaires, elle entend véhiculer les bonnes pratiques visant la protection du consommateur. Ainsi, elle a signé deux accords de partenariat, un avec l’Observatoire pour la qualité des services financiers et un autre avec les associations de consommateurs dans le cadre d’une campagne d’information et de communication sur les meilleures pratiques de gestion visant la protection du consommateur au niveau national.
« L’Afrique de l’ouest a enregistré 290 millions de comptes de monnaie électronique actifs sur 30 jours entre 2018 et 2023 : c’est le plus grand nombre enregistré à travers le monde. Seul le mobile money contribue à hauteur en moyenne de 8 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en Afrique subsaharienne, soit environ 140 milliards de dollars américains », a indiqué Madame Sène citant le rapport du GSMA sur la volumétrie transactionnelle.
En faisant parler les chiffres, elle a voulu montrer le dynamisme de l’industrie du paiement mobile qui, selon elle, semble être l’un des seuls sous-secteurs en constante progression, en dépit des chocs qui ont ralenti la relance au niveau des autres secteurs moteurs de la croissance économique.
Coura Tine Sène, directrice Afrique Wave digital finance, l’a fait savoir aux représentants des organisations de défense des consommateurs et des médias, lors de la conférence annuelle sur l'expérience utilisateurs des services de paiements mobiles.
A cette rencontre d’échanges annuelle tenus hier à Dakar, elle a indiqué que ce dispositif permettra de baisser encore plus le ratio du taux de fraude et d’arnaque. Selon lui, il est largement inférieur à 1 pour cent et se situe en 2022 à 0,0056 pour cent du volume de transactions, pour une plateforme qui gère 3,5 millions d’utilisateurs par jour.
La direction générale de Wave Sénégal se montre plus ambitieuse. Au-delà des aspects sécuritaires, elle entend véhiculer les bonnes pratiques visant la protection du consommateur. Ainsi, elle a signé deux accords de partenariat, un avec l’Observatoire pour la qualité des services financiers et un autre avec les associations de consommateurs dans le cadre d’une campagne d’information et de communication sur les meilleures pratiques de gestion visant la protection du consommateur au niveau national.
« L’Afrique de l’ouest a enregistré 290 millions de comptes de monnaie électronique actifs sur 30 jours entre 2018 et 2023 : c’est le plus grand nombre enregistré à travers le monde. Seul le mobile money contribue à hauteur en moyenne de 8 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en Afrique subsaharienne, soit environ 140 milliards de dollars américains », a indiqué Madame Sène citant le rapport du GSMA sur la volumétrie transactionnelle.
En faisant parler les chiffres, elle a voulu montrer le dynamisme de l’industrie du paiement mobile qui, selon elle, semble être l’un des seuls sous-secteurs en constante progression, en dépit des chocs qui ont ralenti la relance au niveau des autres secteurs moteurs de la croissance économique.