«Société générale est l’une des premières banques à avoir proposé des produits et services de finance solidaire à ses clients. En 2018, la banque a versé plus d’1,7 million d’euros à 48 associations partenaires reconnues d’utilité publique. L’ensemble des dispositifs fait état d’une nette progression des donations», souligne le texte.
«La banque et ses clients permettent ainsi d’accroître la visibilité de ces associations auprès d’un large public et de contribuer à leur bon fonctionnement», poursuit-il.
Société générale propose une gamme de services solidaires diversifiée, parmi les plus larges du marché, qui répond à l’intérêt croissant des clients pour les actions de partage :
• Les cartes Collection caritatives, Business entrepreneur et Affaires environnement : à chaque paiement effectué par le client avec sa carte, Société Générale verse 5 centimes € à l'association (ou fondation) qu’il aura choisi de soutenir.
• Le Service d'Epargne Solidaire offre la possibilité aux clients (personnes physiques majeures) de reverser gratuitement tout ou partie des intérêts de leur livret d'épargne à 1, 2 ou 3 associations de leur choix parmi une liste d’associations, et bénéficier d’une réduction d'impôt de 66 ou 75 pour cent du montant du don. Les dons sont majorés de 10 pour cent par Société Générale.
• « SG Solidarité », le fonds solidaire de partage de Société Générale permet aux clients d’investir sur les marchés financiers tout en étant solidaires. Ces derniers bénéficient d’une gestion flexible qui adapte l'allocation du portefeuille aux évolutions des marchés. Ils investissent 5 à 10 pour cent des actifs dans des entreprises solidaires et reversent 50 pour cent des revenus à l’association partenaire choisie (parmi 4 associations partenaires).
Le Service d'Epargne Solidaire et « SG Solidarité » sont labellisés Finansol. Ce label distingue les produits d’épargne solidaire des autres produits d’épargne, en assurant à l’épargnant que son épargne contribue réellement au financement d’activités génératrices d’utilité sociale et/ou environnementale (l’accès à l’emploi, au logement, le soutien à l’agriculture biologique et aux énergies renouvelables ou encore à l’entrepreneuriat dans les pays en développement).
«La banque et ses clients permettent ainsi d’accroître la visibilité de ces associations auprès d’un large public et de contribuer à leur bon fonctionnement», poursuit-il.
Société générale propose une gamme de services solidaires diversifiée, parmi les plus larges du marché, qui répond à l’intérêt croissant des clients pour les actions de partage :
• Les cartes Collection caritatives, Business entrepreneur et Affaires environnement : à chaque paiement effectué par le client avec sa carte, Société Générale verse 5 centimes € à l'association (ou fondation) qu’il aura choisi de soutenir.
• Le Service d'Epargne Solidaire offre la possibilité aux clients (personnes physiques majeures) de reverser gratuitement tout ou partie des intérêts de leur livret d'épargne à 1, 2 ou 3 associations de leur choix parmi une liste d’associations, et bénéficier d’une réduction d'impôt de 66 ou 75 pour cent du montant du don. Les dons sont majorés de 10 pour cent par Société Générale.
• « SG Solidarité », le fonds solidaire de partage de Société Générale permet aux clients d’investir sur les marchés financiers tout en étant solidaires. Ces derniers bénéficient d’une gestion flexible qui adapte l'allocation du portefeuille aux évolutions des marchés. Ils investissent 5 à 10 pour cent des actifs dans des entreprises solidaires et reversent 50 pour cent des revenus à l’association partenaire choisie (parmi 4 associations partenaires).
Le Service d'Epargne Solidaire et « SG Solidarité » sont labellisés Finansol. Ce label distingue les produits d’épargne solidaire des autres produits d’épargne, en assurant à l’épargnant que son épargne contribue réellement au financement d’activités génératrices d’utilité sociale et/ou environnementale (l’accès à l’emploi, au logement, le soutien à l’agriculture biologique et aux énergies renouvelables ou encore à l’entrepreneuriat dans les pays en développement).