L'année 2023 en cours d'exercice s'annonce difficile pour les autorités sénégalaises. En plus d'être confrontées à de multiples défis, notamment une insécurité régionale accrue et des demandes sociales croissantes dans un contexte d'augmentation du coût de la vie, elles doivent redoubler d'efforts pour reconstituer les réserves budgétaires et placer la dette publique sur une trajectoire résolument descendante à moyen terme.
Le Fmi classe ces défis au rang des priorités auxquelles les autorités pourraient relever grâce à une mise en œuvre accélérée de la stratégie de mobilisation des recettes intérieures et à la suppression progressive des subventions énergétiques.
Et le Fmi rapporte que, malgré ces défis, les autorités se sont engagées à maintenir le déficit budgétaire à 6,2 pour cent du produit intérieur brut (Pib) en 2022, conformément à la précédente revue du programme, grâce à des mesures de recettes supplémentaires et à des économies pour compenser des subventions énergétiques plus importantes.
Selon toujours le Fmi, les autorités se sont également engagées à accélérer l'assainissement budgétaire pour contenir le déficit budgétaire de 2023 en dessous de 5 pour cent du Pib, tout en renforçant leur réponse pour alléger le fardeau de la crise du coût de la vie.
"Afin de réduire les subventions énergétiques en 2023, les autorités ont décidé d'augmenter certains prix de l'électricité et des carburants, tout en amortissant l'impact sur les ménages vulnérables", souligne-t-il dans un communiqué de presse transmis à equonet.
En outre, le Fmi informe que gouvernement a publié une feuille de route pour éliminer progressivement les subventions énergétiques d'ici 2025.
Il s'agit là autant efforts qui, parallèlement à une plus forte mobilisation des recettes, devraient contribuer à reconstituer les réserves budgétaires et à placer la dette publique sur une trajectoire résolument descendante à moyen terme, selon le Fmi.
Le Fmi classe ces défis au rang des priorités auxquelles les autorités pourraient relever grâce à une mise en œuvre accélérée de la stratégie de mobilisation des recettes intérieures et à la suppression progressive des subventions énergétiques.
Et le Fmi rapporte que, malgré ces défis, les autorités se sont engagées à maintenir le déficit budgétaire à 6,2 pour cent du produit intérieur brut (Pib) en 2022, conformément à la précédente revue du programme, grâce à des mesures de recettes supplémentaires et à des économies pour compenser des subventions énergétiques plus importantes.
Selon toujours le Fmi, les autorités se sont également engagées à accélérer l'assainissement budgétaire pour contenir le déficit budgétaire de 2023 en dessous de 5 pour cent du Pib, tout en renforçant leur réponse pour alléger le fardeau de la crise du coût de la vie.
"Afin de réduire les subventions énergétiques en 2023, les autorités ont décidé d'augmenter certains prix de l'électricité et des carburants, tout en amortissant l'impact sur les ménages vulnérables", souligne-t-il dans un communiqué de presse transmis à equonet.
En outre, le Fmi informe que gouvernement a publié une feuille de route pour éliminer progressivement les subventions énergétiques d'ici 2025.
Il s'agit là autant efforts qui, parallèlement à une plus forte mobilisation des recettes, devraient contribuer à reconstituer les réserves budgétaires et à placer la dette publique sur une trajectoire résolument descendante à moyen terme, selon le Fmi.