(Equonet-Dakar) - La pression fiscale, mesurée par le ratio «impôts sur le résultat sur valeur ajoutée», s’est abaissée de 0,4 point, en passant de 8,6 pour cent en 2016 à 8,2 pour cent en 2017, indique l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) dans sa Base de données économiques et financiers publiée aujourd’hui. .
Selon le document, elle a progressé respectivement de 0,7 point et 1,2 point dans les industries et le commerce alors qu’elle s’est repliée de 5,1 points dans les bâtiments et travaux publics (BTP) et de 1,0 point dans les services.
“Les industries ont, comme par le passé le taux le plus faible (6,6 pour cent en 2017). Le commerce enregistre la plus forte pression fiscale (11,9 pour cent). Rapportée à la valeur ajoutée globale, la part de l’impôt sur le résultat s’est aussi légèrement contractée de 0,3 point en passant de 7,1 pour cent en 2016 à 6,8 pour cent en 2017”, souligne-t-il.
Selon le document, les services restent prépondérants dans la structure des impôts supportés par macro-secteur malgré la baisse de leur part (46,9 pour cent en 2016 et 44,9 pour cent en 2017). Ils sont suivis des industries (32,0 pour cent), du commerce (15,2 pour cent) et des BTP (7,9 pour cent).
Selon le document, elle a progressé respectivement de 0,7 point et 1,2 point dans les industries et le commerce alors qu’elle s’est repliée de 5,1 points dans les bâtiments et travaux publics (BTP) et de 1,0 point dans les services.
“Les industries ont, comme par le passé le taux le plus faible (6,6 pour cent en 2017). Le commerce enregistre la plus forte pression fiscale (11,9 pour cent). Rapportée à la valeur ajoutée globale, la part de l’impôt sur le résultat s’est aussi légèrement contractée de 0,3 point en passant de 7,1 pour cent en 2016 à 6,8 pour cent en 2017”, souligne-t-il.
Selon le document, les services restent prépondérants dans la structure des impôts supportés par macro-secteur malgré la baisse de leur part (46,9 pour cent en 2016 et 44,9 pour cent en 2017). Ils sont suivis des industries (32,0 pour cent), du commerce (15,2 pour cent) et des BTP (7,9 pour cent).