«Au-delà des instruments d’appui à l’emploi et à l’entreprenariat des jeunes, l’Etat a également beaucoup investi sur la réalisation d’infrastructures lourdes, indispensables au développement du pays : routes, autoroutes, ponts; centrales électriques ; zones industrielles, dont celles de Diamniadio et de Sandiara ;reconstruction en cours de cinq aéroports régionaux ; projets ferroviaires avec le TER en phase de finalisation et bientôt la réhabilitation complète de la ligne Dakar- Tambacounda ;Bus Transit Rapide pour relier Dakar et la banlieue, actuellement en chantier», a fait savoir le chef de l’Etat.
Macky Sall a également cité le port de Bargny-Sendou et le projet de Port du futur à Ndayane, sur 1200 hectares. «C’est un investissement de plus de 840 millions de dollars, pour la première phase», a-t-il précisé.
«Avec le PUDC, le PUMA et le PROMOVILLES, nous continuons de désenclaver les zones défavorisées de notre pays, d’y apporter de l’eau, de l’électricité et des équipements pour l’allègement des travaux des femmes, et de doter nos villes, longtemps déshéritées, d’un minimum d’infrastructures de base», a-t-il poursuivi.
«Tous ces investissements massifs dans des projets pourvoyeurs d’emplois, transforment positivement les conditions de vie de nos populations au quotidien. Ils redonnent vie à nos campagnes et nos cités. Ils apportent le progrès, soutiennent la croissance, créent de l’emploi et des activités génératrices de revenus. Ces efforts, combinés à l’investissement privé, ont permis de maintenir toutes ces années le taux de croissance économique du Sénégal à plus de 6% et de créer en moyenne 150 000 emplois par an», a-t-il ajouté.
«Je parle de taux de croissance parce que c’est un indicateur de la vitalité économique d’un pays», a-t-il déclaré soulignant qu’il ne peut y avoir ni croissance, ni création d’emplois sans activité économique soutenue.
Macky Sall a également cité le port de Bargny-Sendou et le projet de Port du futur à Ndayane, sur 1200 hectares. «C’est un investissement de plus de 840 millions de dollars, pour la première phase», a-t-il précisé.
«Avec le PUDC, le PUMA et le PROMOVILLES, nous continuons de désenclaver les zones défavorisées de notre pays, d’y apporter de l’eau, de l’électricité et des équipements pour l’allègement des travaux des femmes, et de doter nos villes, longtemps déshéritées, d’un minimum d’infrastructures de base», a-t-il poursuivi.
«Tous ces investissements massifs dans des projets pourvoyeurs d’emplois, transforment positivement les conditions de vie de nos populations au quotidien. Ils redonnent vie à nos campagnes et nos cités. Ils apportent le progrès, soutiennent la croissance, créent de l’emploi et des activités génératrices de revenus. Ces efforts, combinés à l’investissement privé, ont permis de maintenir toutes ces années le taux de croissance économique du Sénégal à plus de 6% et de créer en moyenne 150 000 emplois par an», a-t-il ajouté.
«Je parle de taux de croissance parce que c’est un indicateur de la vitalité économique d’un pays», a-t-il déclaré soulignant qu’il ne peut y avoir ni croissance, ni création d’emplois sans activité économique soutenue.