La Banque africaine de développement (Bad) affirme avoir pris connaissance d’un article de presse inexact selon lequel l’institution prévoirait d’apporter un soutien financier au projet d’oléoduc de pétrole brut en Afrique de l’Est.
A cet égard, elle dément catégoriquement cette allégation erronée, parue dans cet article, qui renvoie à une lettre d’un groupe d’organisations de la société civile et d’opposants au dérèglement climatique, demandant à l’institution de se retirer du projet en raison des dommages potentiels qu’il pourrait avoir sur le plan social et environnemental.
Elle livre les faits avérés qui sont les suivants :
A cet égard, elle dément catégoriquement cette allégation erronée, parue dans cet article, qui renvoie à une lettre d’un groupe d’organisations de la société civile et d’opposants au dérèglement climatique, demandant à l’institution de se retirer du projet en raison des dommages potentiels qu’il pourrait avoir sur le plan social et environnemental.
Elle livre les faits avérés qui sont les suivants :
- Le Fonds de préparation des projets d’infrastructures (IPPF) du NEPAD n’a fourni de financement à aucune société du secteur privé pour des projets d’oléoduc ou de gazoduc en Afrique de l’Est.
- Aucun engagement n’a donc été pris envers quelque partie que ce soit pour le financement du projet d’oléoduc de pétrole brut en Afrique de l’Est. Ce projet ne figure pas dans le programme de prêts de la Banque.
- La Banque est fermement engagée dans la promotion des énergies renouvelables.
«Le groupe de la Bad a joué, pendant plus d’une décennie, un rôle de premier plan dans la formulation de politiques de développement durable et par des investissements qui favorisent ces pratiques sur le continent, notamment en matière d’adaptation au climat et de résilience», souligne le communiqué.
«La Banque est engagée, dans ses domaines prioritaires d’activité, à promouvoir la transition vers un développement à faible teneur en carbone et à un développement résilient au changement climatique dans les pays africains», ajoute-t-il.
«La Banque est engagée, dans ses domaines prioritaires d’activité, à promouvoir la transition vers un développement à faible teneur en carbone et à un développement résilient au changement climatique dans les pays africains», ajoute-t-il.