C’est une prouesse de l’administration douanière sénégalaise. En dépit du contexte particulier lié à la pandémie de la Covid-19, elle a atteint la barre symbolique de 1000 milliards Fcfa de liquidations de taxes le 24 décembre 2020. Selon la direction générale, celles-ci ont connu une progression remarquable en l'espace de quatre ans en passant de 897 en 2017 à 925 en 2018, à 985 en 2019, et à plus de 1000 milliards de Fcfa en 2020. Une première pour les soldats de l’économie.
«C'est la première fois que ces réalisations dépassent 1000 milliards Fcfa», s'est réjoui le Directeur général des Douanes, Abdourahmane Dièye, qui effectuait une visite dans les principales unités douanières du Port autonome de Dakar. «Ces résultats ont été obtenus dans un contexte où nous avons été contraints d’édulcorer l'exigence habituelle de redevabilité des opérateurs économiques pour les accompagner dans le cadre de la résilience économique et social», a-t-il déclaré.
«Cela s'est traduit par le rééchelonnement des délais de paiements, des renonciations de pénalités, par l'augmentation et l'élargissement des procédures dégradées d'enlèvement entre autres mesures», a-t-il poursuivi. «Nous savons tous que le droit douanier n'est pas quérable, il est plutôt portable», a rappelé M. Dièye, soulignant que «le franchissement du cordon douanier en est le fait générateur». «Ce qui fait qu’il est tributaire des chaînes d’approvisionnement mondial qui ont été durement impactées par la crise sanitaire liée à la Covid-19», a-t-il ajouté.
Pour Abdourahmane Dièye, ces résultats de font ressortir l'effort réel du service des Douanes en termes de liquidations douanières dans une année budgétaire, c'est-à-dire du 1er janvier au 31 décembre.
Il attribue ces résultats également à l’exécution rigoureuse et intelligente des instructions de la Direction générale des Douanes, à une gestion efficace et efficiente du dédouanement des grands produits, à l’application consensuelle des valeurs de corrections, à l’engagement de tous les agents et à l’exemplarité de leurs chefs.
«Ces liquidations ont été rendues possibles grâce à des mesures hardies jugées parfois impopulaires. Mais nos partenaires et les usagers du service douanier ont compris que la sauvegarde des intérêts du Trésor public dans ce contexte, devait prévaloir sur toute autre considération», a-t-il précisé.
A ce titre, il a été décidé de rationaliser les dépenses fiscales, surtout celles dites ad hoc, de sanctionner très sévèrement les abus constatés dans les régimes économiques douaniers et d'interdire le bénéfice de ces mécanismes à toutes les entreprises, auteures infractions ou ayant un passif non réglé en douane.
«C’est ainsi que nous avons engagé les services opérationnels à respecter les grands consensus obtenus sur les valeurs de correction en veillant à l'égalité devant la charge fiscale», a-t-il fait savoir avant d’engager les agents à maintenir la dynamique dans la loyauté et le dévouement.
«C'est la première fois que ces réalisations dépassent 1000 milliards Fcfa», s'est réjoui le Directeur général des Douanes, Abdourahmane Dièye, qui effectuait une visite dans les principales unités douanières du Port autonome de Dakar. «Ces résultats ont été obtenus dans un contexte où nous avons été contraints d’édulcorer l'exigence habituelle de redevabilité des opérateurs économiques pour les accompagner dans le cadre de la résilience économique et social», a-t-il déclaré.
«Cela s'est traduit par le rééchelonnement des délais de paiements, des renonciations de pénalités, par l'augmentation et l'élargissement des procédures dégradées d'enlèvement entre autres mesures», a-t-il poursuivi. «Nous savons tous que le droit douanier n'est pas quérable, il est plutôt portable», a rappelé M. Dièye, soulignant que «le franchissement du cordon douanier en est le fait générateur». «Ce qui fait qu’il est tributaire des chaînes d’approvisionnement mondial qui ont été durement impactées par la crise sanitaire liée à la Covid-19», a-t-il ajouté.
Pour Abdourahmane Dièye, ces résultats de font ressortir l'effort réel du service des Douanes en termes de liquidations douanières dans une année budgétaire, c'est-à-dire du 1er janvier au 31 décembre.
Il attribue ces résultats également à l’exécution rigoureuse et intelligente des instructions de la Direction générale des Douanes, à une gestion efficace et efficiente du dédouanement des grands produits, à l’application consensuelle des valeurs de corrections, à l’engagement de tous les agents et à l’exemplarité de leurs chefs.
«Ces liquidations ont été rendues possibles grâce à des mesures hardies jugées parfois impopulaires. Mais nos partenaires et les usagers du service douanier ont compris que la sauvegarde des intérêts du Trésor public dans ce contexte, devait prévaloir sur toute autre considération», a-t-il précisé.
A ce titre, il a été décidé de rationaliser les dépenses fiscales, surtout celles dites ad hoc, de sanctionner très sévèrement les abus constatés dans les régimes économiques douaniers et d'interdire le bénéfice de ces mécanismes à toutes les entreprises, auteures infractions ou ayant un passif non réglé en douane.
«C’est ainsi que nous avons engagé les services opérationnels à respecter les grands consensus obtenus sur les valeurs de correction en veillant à l'égalité devant la charge fiscale», a-t-il fait savoir avant d’engager les agents à maintenir la dynamique dans la loyauté et le dévouement.