"Il s’agit d’une interprétation erronée du fonctionnement des guichets à travers lesquels la Banque Centrale accorde des ressources aux banques de l’Union", précise-t-elle.
"En effet, les montants indiqués par ce média ne correspondent pas à de nouvelles injections de liquidités. Il s’agit plutôt de reconductions d’encours de créances de la Banque Centrale, d’échéances hebdomadaire et mensuelle, sur les banques du Niger, qui existaient avant la prise des sanctions. Ces reconductions n’entraînent donc pas de nouvelles injections de liquidités", ajoute-t-elle.