Actualité
Le programme Regional Emergency Preparedness and Inclusive Access to Recovery (REPAIR) a démontré l’importance cruciale de la rapidité dans les interventions post-catastrophe, en débloquant plus de 16,8 millions de dollars américains au Mozambique seulement deux jours ouvrables après une demande officielle du gouvernement, informe un communiqué de presse transmis à EQUONET Energies.
Ce décaissement intervient à la suite des ravages causés par le cyclone tropical Jude, qui a durement frappé le Mozambique en mars, touchant particulièrement les communautés des provinces de Nampula et de Zambézie.
Ces fonds permettront au gouvernement mozambicain d’apporter une aide d’urgence – notamment en matière d’alimentation, de soins médicaux et d’abris – à près de 150 000 personnes affectées par la catastrophe.
Ce versement témoigne aussi d’un engagement profond partagé par l’ensemble des partenaires de REPAIR : faire de la rapidité d’action un levier essentiel pour sauver des vies. En situation de crise, chaque heure compte – et la capacité à mobiliser rapidement des ressources permet d’atténuer les souffrances, de protéger les moyens de subsistance et de favoriser un relèvement plus rapide.
« Nos pensées vont vers les familles touchées par le cyclone Jude. ARC Ltd se tient à leurs côtés pour leur apporter l’aide dont elles ont besoin, au moment où elles en ont le plus besoin », a déclaré Lesley Ndlovu, directeur général d’ARC Ltd. « Nous saluons la confiance et l’anticipation du gouvernement du Mozambique. La rapidité compte, et nous sommes fiers de contribuer à une réponse centrée sur les personnes. »
Le programme repose sur trois principes clés :
• La rapidité, pour intervenir dès que les besoins se font sentir ;
• La flexibilité, afin que chaque pays puisse orienter les fonds selon ses priorités ;
• La durabilité, avec la mobilisation de financements à long terme issus de sources publiques et privées.
Comme l’explique Caroline Cerrutti, spécialiste principale du secteur financier pour l’Afrique australe à la Banque mondiale : « L’approche de REPAIR repose sur sa capacité à fournir un soutien financier rapide et souple aux pays, au moment où ils en ont le plus besoin – c’est-à-dire immédiatement après une catastrophe. Son engagement à débloquer des fonds vitaux dans les sept jours suivant un événement, grâce à des mécanismes financiers prédéfinis, peut faire la différence entre un redressement rapide et une crise prolongée. Dans le cas du Mozambique, REPAIR a répondu à la demande de 16,87 millions de dollars en seulement deux jours ouvrables. »
À mesure que les chocs climatiques deviennent plus fréquents et plus intenses, la rapidité devient un facteur déterminant de l’efficacité des réponses d’urgence. Les retards peuvent transformer des crises gérables en catastrophes humaines et économiques prolongées. Ce décaissement rapide illustre comment des mécanismes innovants comme REPAIR peuvent combler le fossé entre urgence et action, et ainsi sauver des vies.
Bien plus qu’un instrument financier, REPAIR incarne une ambition collective : offrir aux pays africains des outils plus efficaces, des systèmes plus réactifs et des solutions plus adaptables pour protéger leurs populations. En tant que partenaire opérationnel, ARC Ltd continue d’investir dans des approches innovantes pour renforcer l’impact de ses interventions, avec la conviction que la résilience va bien au-delà de l’assurance : elle consiste à préserver la dignité, permettre le redressement et construire l’avenir.
Le Mozambique fait partie des trois pays engagés dans la première phase de REPAIR, aux côtés des Comores et de Madagascar. D’ici 2031, le programme vise à accompagner 12 pays d’Afrique de l’Est et australe, touchant plus de 24 millions de personnes. Doté d’un financement initial de 926 millions de dollars de la Banque mondiale, il ambitionne de mobiliser 795 millions de dollars supplémentaires auprès d’investisseurs privés.
Porté par la Banque mondiale, avec un soutien financier de la Global Shield Financing Facility (GSFF), REPAIR est mis en œuvre par ARC Ltd, filiale du Groupe African Risk Capacity. Le programme offre aux pays participants un financement préarrangé et à accès rapide pour renforcer leurs capacités de réponse et de reprise face aux chocs climatiques.
Ce décaissement intervient à la suite des ravages causés par le cyclone tropical Jude, qui a durement frappé le Mozambique en mars, touchant particulièrement les communautés des provinces de Nampula et de Zambézie.
Ces fonds permettront au gouvernement mozambicain d’apporter une aide d’urgence – notamment en matière d’alimentation, de soins médicaux et d’abris – à près de 150 000 personnes affectées par la catastrophe.
Ce versement témoigne aussi d’un engagement profond partagé par l’ensemble des partenaires de REPAIR : faire de la rapidité d’action un levier essentiel pour sauver des vies. En situation de crise, chaque heure compte – et la capacité à mobiliser rapidement des ressources permet d’atténuer les souffrances, de protéger les moyens de subsistance et de favoriser un relèvement plus rapide.
« Nos pensées vont vers les familles touchées par le cyclone Jude. ARC Ltd se tient à leurs côtés pour leur apporter l’aide dont elles ont besoin, au moment où elles en ont le plus besoin », a déclaré Lesley Ndlovu, directeur général d’ARC Ltd. « Nous saluons la confiance et l’anticipation du gouvernement du Mozambique. La rapidité compte, et nous sommes fiers de contribuer à une réponse centrée sur les personnes. »
Le programme repose sur trois principes clés :
• La rapidité, pour intervenir dès que les besoins se font sentir ;
• La flexibilité, afin que chaque pays puisse orienter les fonds selon ses priorités ;
• La durabilité, avec la mobilisation de financements à long terme issus de sources publiques et privées.
Comme l’explique Caroline Cerrutti, spécialiste principale du secteur financier pour l’Afrique australe à la Banque mondiale : « L’approche de REPAIR repose sur sa capacité à fournir un soutien financier rapide et souple aux pays, au moment où ils en ont le plus besoin – c’est-à-dire immédiatement après une catastrophe. Son engagement à débloquer des fonds vitaux dans les sept jours suivant un événement, grâce à des mécanismes financiers prédéfinis, peut faire la différence entre un redressement rapide et une crise prolongée. Dans le cas du Mozambique, REPAIR a répondu à la demande de 16,87 millions de dollars en seulement deux jours ouvrables. »
À mesure que les chocs climatiques deviennent plus fréquents et plus intenses, la rapidité devient un facteur déterminant de l’efficacité des réponses d’urgence. Les retards peuvent transformer des crises gérables en catastrophes humaines et économiques prolongées. Ce décaissement rapide illustre comment des mécanismes innovants comme REPAIR peuvent combler le fossé entre urgence et action, et ainsi sauver des vies.
Bien plus qu’un instrument financier, REPAIR incarne une ambition collective : offrir aux pays africains des outils plus efficaces, des systèmes plus réactifs et des solutions plus adaptables pour protéger leurs populations. En tant que partenaire opérationnel, ARC Ltd continue d’investir dans des approches innovantes pour renforcer l’impact de ses interventions, avec la conviction que la résilience va bien au-delà de l’assurance : elle consiste à préserver la dignité, permettre le redressement et construire l’avenir.
Le Mozambique fait partie des trois pays engagés dans la première phase de REPAIR, aux côtés des Comores et de Madagascar. D’ici 2031, le programme vise à accompagner 12 pays d’Afrique de l’Est et australe, touchant plus de 24 millions de personnes. Doté d’un financement initial de 926 millions de dollars de la Banque mondiale, il ambitionne de mobiliser 795 millions de dollars supplémentaires auprès d’investisseurs privés.
Porté par la Banque mondiale, avec un soutien financier de la Global Shield Financing Facility (GSFF), REPAIR est mis en œuvre par ARC Ltd, filiale du Groupe African Risk Capacity. Le programme offre aux pays participants un financement préarrangé et à accès rapide pour renforcer leurs capacités de réponse et de reprise face aux chocs climatiques.
