Au milieu, le ministre sénégalais en charge des Finances.
Le directeur général du Groupe intergouvernementale d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (Giaba), Adama Coulibaly, a annoncé samedi à Dakar les processus d’évaluation nationale des risques dans les Etats membres et de celui du second cycle d’évaluation mutuelle de leurs dispositifs Lbc/Ft, dont les nouvelles exigences reposent avant tout sur la conformité technique et l’efficacité.
«Nous sommes unanimes que ce processus du second cycle qui démarre en septembre 2016 avec le Sénégal comme premier pays francophone est un exercice complexe et hautement technique qui nécessitera une forte mobilisation et une coordination renforcée de toutes les parties prenantes au plan national et un développement en synergie de nos expériences et expertises au plan régional et international», a-t-il déclaré.
M. Coulibaly qui s’exprimait lors de la 15ième réunion du comité ministériel du Giaba a, par ailleurs, souligné la nécessité de disposer de ressources financières adéquates qui se dégage être le facteur déterminant pour mener avec succès sa mise en œuvre.
Aussi, a-t-il lancé un appel solennel à l’endroit des autorités des Etats membres du Giaba pour qu’elles mettent à disposition les ressources budgétaires adéquates afin de permettre aux Cellules de renseignement financière (Crf) de jouer pleinement le rôle qui est le leur dans la sécurisation des systèmes financiers, de la stabilité économique et de promotion de bonne gouvernance et de renforcement du système sécuritaire national pour un environnement plus propice aux affaires.
Le Dg du Giaba a adressé une invitation aux Etats membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) pour l’internalisation du nouveau dispositif légal communautaire.
«Pour les Etats membres de l’Uemoa, il s’avère impératif que toutes les dispositions soient prises pour une internationalisation du nouveau dispositif légal communautaire avant le premier semestre de 2016, afin de leur permettre de répondre avec succès audit processus d’évaluation mutuelle», a-t-il lancé.
En direction des partenaires techniques et financiers, il les exhorte à multiplier et diversifier les initiatives de financement, afin de permettre aux Etats membres de ne pas être le maillon faible de cette alliance nationale contre le crime financier et le crime transnational organisé.
A l’endroit des experts des Crf, voici son message : «c’est le moment plus que jamais de faire preuve d’une plus grande maîtrise et d’une expertise éprouvée des mécanismes de mobilisation de l’aide internationale, ainsi qu’une pro-activité dans leurs actions et initiatives dans un contexte de mondialisation des ressources», a-t-il indiqué.
Pour permettre à la région de mener dans les conditions requises ce processus de 2ième cycle d’évaluation, a annoncé l’élaboration d’un nouveau Plan stratégique 2016-2020 qui sera soumis aux Etats membres pour endossement.
«Nous sommes unanimes que ce processus du second cycle qui démarre en septembre 2016 avec le Sénégal comme premier pays francophone est un exercice complexe et hautement technique qui nécessitera une forte mobilisation et une coordination renforcée de toutes les parties prenantes au plan national et un développement en synergie de nos expériences et expertises au plan régional et international», a-t-il déclaré.
M. Coulibaly qui s’exprimait lors de la 15ième réunion du comité ministériel du Giaba a, par ailleurs, souligné la nécessité de disposer de ressources financières adéquates qui se dégage être le facteur déterminant pour mener avec succès sa mise en œuvre.
Aussi, a-t-il lancé un appel solennel à l’endroit des autorités des Etats membres du Giaba pour qu’elles mettent à disposition les ressources budgétaires adéquates afin de permettre aux Cellules de renseignement financière (Crf) de jouer pleinement le rôle qui est le leur dans la sécurisation des systèmes financiers, de la stabilité économique et de promotion de bonne gouvernance et de renforcement du système sécuritaire national pour un environnement plus propice aux affaires.
Le Dg du Giaba a adressé une invitation aux Etats membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) pour l’internalisation du nouveau dispositif légal communautaire.
«Pour les Etats membres de l’Uemoa, il s’avère impératif que toutes les dispositions soient prises pour une internationalisation du nouveau dispositif légal communautaire avant le premier semestre de 2016, afin de leur permettre de répondre avec succès audit processus d’évaluation mutuelle», a-t-il lancé.
En direction des partenaires techniques et financiers, il les exhorte à multiplier et diversifier les initiatives de financement, afin de permettre aux Etats membres de ne pas être le maillon faible de cette alliance nationale contre le crime financier et le crime transnational organisé.
A l’endroit des experts des Crf, voici son message : «c’est le moment plus que jamais de faire preuve d’une plus grande maîtrise et d’une expertise éprouvée des mécanismes de mobilisation de l’aide internationale, ainsi qu’une pro-activité dans leurs actions et initiatives dans un contexte de mondialisation des ressources», a-t-il indiqué.
Pour permettre à la région de mener dans les conditions requises ce processus de 2ième cycle d’évaluation, a annoncé l’élaboration d’un nouveau Plan stratégique 2016-2020 qui sera soumis aux Etats membres pour endossement.