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Conférence régionale sur la lutte contre le trafic illicite de migrants et la traite des êtres humains, Dakar, Sénégal.
La France est très vigilante sur la question de la migration et du traitement des être humains. C'est ainsi qu'elle a dépêché une délégation à la troisième conférence régionale sur la thématique "la lutte contre le trafic illicite de migrants (TIM) et la traite des êtres humains (TEH)", organisée par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), du 10 au 12 mai, à Dakar, Sénégal.
Selon l'ambassade de France au Sénégal, l'occasion a été saisie par la délégation française conduite par Christophe LÉONZI, ambassadeur chargé des migrations, de faire une proposition novatrice sur la nécessité de prendre en compte l’importance grandissante d’Internet dans le fonctionnement des filières d’acheminement en Europe.
Dans son site web visité par equonet, elle fait savoir que "la moitié des victimes des passeurs sont aujourd’hui recrutés sur les réseaux sociaux". "Par ailleurs, les criminels ont recours massivement aux nouvelles technologies pour contrer la surveillance des services d’enquête, en Europe comme en Afrique".
"Dans un proche avenir, ce constat est susceptible de déboucher sur de nouvelles pistes de coopération avec les États africains. Cette coopération sera d’autant plus efficace qu’elle pourra également inclure des actions d’information en direction de la jeunesse, afin de la sensibiliser sur les nouvelles menaces", ajoute-t-elle.
Selon la même source, la rencontre de Dakar a réuni 120 participants issus de 18 pays (7 pays européens et 11 pays africains).
Selon l'ambassade de France au Sénégal, l'occasion a été saisie par la délégation française conduite par Christophe LÉONZI, ambassadeur chargé des migrations, de faire une proposition novatrice sur la nécessité de prendre en compte l’importance grandissante d’Internet dans le fonctionnement des filières d’acheminement en Europe.
Dans son site web visité par equonet, elle fait savoir que "la moitié des victimes des passeurs sont aujourd’hui recrutés sur les réseaux sociaux". "Par ailleurs, les criminels ont recours massivement aux nouvelles technologies pour contrer la surveillance des services d’enquête, en Europe comme en Afrique".
"Dans un proche avenir, ce constat est susceptible de déboucher sur de nouvelles pistes de coopération avec les États africains. Cette coopération sera d’autant plus efficace qu’elle pourra également inclure des actions d’information en direction de la jeunesse, afin de la sensibiliser sur les nouvelles menaces", ajoute-t-elle.
Selon la même source, la rencontre de Dakar a réuni 120 participants issus de 18 pays (7 pays européens et 11 pays africains).