(Ecofnance.sn Dakar ) - Selon Jeune Afrique, la nouvelle compagnie aérienne Air Sénégal a acquis ses deux premiers avions. C’est sous l’aile droite d’un appareil similaire aux couleurs de la compagnie low cost indienne IndiGo – qui s’est montrée intéressée pour en acheter une cinquantaine début mai – qu’a été officialisé en fin d’après-midi l’achat par Air Sénégal de deux ATR de cette catégorie.
Cet acquisition, au coût de 50 millions d’euros au prix catalogue, a été financé par un crédit-export auprès de la Coface et de la SACE, son homologue italien. D’une capacité de 68 à 78 places, ils seront livrés en novembre prochain.
Présents, le directeur général de la compagnie, Mamadou Lamine Sow, accompagné de Christian Scherer, directeur général de l’avionneur franco-italien basé près de Toulouse, et du ministre du Tourisme et des Transports, Maimouna Ndoye Seck et de son homologue français, Elisabeth Borne, ont eu droit à une visite du cockpit et de la cabine. Ils ont pu découvrir le système de divertissement et d’information sur tablettes qui sera proposé aux passagers. L’appareil offre également le wifi. Sa navigation embarquée s’inspire de celle de l’A380.
L’avion ATR peut se poser partout, sur pistes courtes, non asphaltées, par météo défavorable, avec un faible coût d’opération. « Ce turbo-propulseur offre 40% de consommation de moins qu’un jet de la même taille. Il peut faire demi-tour sur lui-même, il n’a pas besoin d’équipements, de camionnettes pour le déchargement des bagages, il est parfaitement autonome » vante Christian Scherer, directeur général d’ATR, qui constate que le marché africain présente un très gros potentiel pour 300 de ses avions d’ici 20 ans.
Cet acquisition, au coût de 50 millions d’euros au prix catalogue, a été financé par un crédit-export auprès de la Coface et de la SACE, son homologue italien. D’une capacité de 68 à 78 places, ils seront livrés en novembre prochain.
Présents, le directeur général de la compagnie, Mamadou Lamine Sow, accompagné de Christian Scherer, directeur général de l’avionneur franco-italien basé près de Toulouse, et du ministre du Tourisme et des Transports, Maimouna Ndoye Seck et de son homologue français, Elisabeth Borne, ont eu droit à une visite du cockpit et de la cabine. Ils ont pu découvrir le système de divertissement et d’information sur tablettes qui sera proposé aux passagers. L’appareil offre également le wifi. Sa navigation embarquée s’inspire de celle de l’A380.
L’avion ATR peut se poser partout, sur pistes courtes, non asphaltées, par météo défavorable, avec un faible coût d’opération. « Ce turbo-propulseur offre 40% de consommation de moins qu’un jet de la même taille. Il peut faire demi-tour sur lui-même, il n’a pas besoin d’équipements, de camionnettes pour le déchargement des bagages, il est parfaitement autonome » vante Christian Scherer, directeur général d’ATR, qui constate que le marché africain présente un très gros potentiel pour 300 de ses avions d’ici 20 ans.