«…Nous avons également récemment finalisé avec le Gouvernement une nouvelle stratégie nationale quinquennale pour nos engagements au Sénégal – notre Cadre de Partenariat Pays (CPP) pour la période 2020-2024», a-t-elle fait savoir à l’assistante hier lors du lancement de l'initiative de financement en faveur des femmes entrepreneurs (Wefi).
Elle a souligné que le nouveau CPP consacre deux de ces trois domaines d’interventions aux activités économiques des hommes et des femmes, à savoir (1) Bâtir le capital humain pour améliorer la productivité et stimuler le dividende démographique et (2) Stimuler la compétitivité et la création d’emplois par une croissance tirée par le secteur privé, avec comme thème transversal l'égalité des sexes.
«Ces engagements et le projet WeFi reflètent également les stratégies du gouvernement sénégalais, notamment la Stratégie Nationale pour l’Autonomisation Economique des Femmes et des Filles (SNAEF 2020-2035) qui cible la promotion de l’entrepreneuriat féminin y compris le développement de l’accès des femmes à la commande publique et le renforcement des capacités techniques et managériales des femmes entrepreneurs, ainsi que le renforcement des capacités des institutions de prendre en compte le genre dans l’administration», a-t-elle fait entendre.
Elle a souligné que le nouveau CPP consacre deux de ces trois domaines d’interventions aux activités économiques des hommes et des femmes, à savoir (1) Bâtir le capital humain pour améliorer la productivité et stimuler le dividende démographique et (2) Stimuler la compétitivité et la création d’emplois par une croissance tirée par le secteur privé, avec comme thème transversal l'égalité des sexes.
«Ces engagements et le projet WeFi reflètent également les stratégies du gouvernement sénégalais, notamment la Stratégie Nationale pour l’Autonomisation Economique des Femmes et des Filles (SNAEF 2020-2035) qui cible la promotion de l’entrepreneuriat féminin y compris le développement de l’accès des femmes à la commande publique et le renforcement des capacités techniques et managériales des femmes entrepreneurs, ainsi que le renforcement des capacités des institutions de prendre en compte le genre dans l’administration», a-t-elle fait entendre.