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Aux extrêmes, M. Dieng et Mme Diagne, au milieu Abdoul Karim Mbengue, directeur en charge de la communication institutionnelle.
Présenté vendredi aux représentants des médias, ce projet, dénommé Amea network optimisation (Ano), comporte deux volets, indique le directeur dudit projet, Ndiogou Dieng.
C’est d’une part le Global network operating center (Gnoc), c’est-à-dire un centre commun avec la mutualisation des équipes d’exploitation du réseau cœur.
D’autre part, il s’agit de l’outsourcing du ran (radio access network ou réseaux d’accès radio) avec l’externalisation de l’exploitation du réseau d’accès qui n’est pas encore d’actualité à la Société nationale des télécommunications du Sénégal (Sonatel).
«Le projet de transformation à l’ordre du jour pour Sonatel est donc celui de la mutualisation de l’activité d’exploitation de l’ensemble du cœur des réseaux et des plateformes de services», a expliqué M. Dieng.
Selon la directrice de l’exploitation réseaux de la Sonatel, Fatou Sène Diagne, le Gnoc sera créé au Sénégal par le groupe Sonatel (Sénégal, Mali, Guinée, Guinée Bissau et 5 autres pays du groupe Orange en Afrique (République centraficaine, Cameroun, Niger, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo).
D’après Mme Diagne, la mise en place du Gnoc à Dakar est prévue le 1ier février 2016 en mode build operate and transfert (Bot) sur 3 à 5 ans. «Le transfert se fera ensuite à une structure qui appartiendra aux filiales utilisatrices», a-t-elle précisé.
Selon le directeur du projet de transformation, Huaweil a été désigné, au terme du processus de mise en compétition des Managed services partners ou fournisseurs de services (Msp), comme adjudicataire avec la création avec la création du d’un Gnoc sur deux sites : Abidjan et Dakar, avec le siège à Dakar.
«Ano est un projet structurant pour tous les opérateurs qui veulent maintenir leur compétitivité et s’adapter ainsi aux changements de leur environnement afin de continuer à proposer des baisses de tarifs à leurs clients», a-t-il expliqué.
Selon le directeur des ressources humaines, Mamadou L. Thiam, le nombre de personnes concernées à Sonatel est de 34 pour ce projet. «C’est une opportunité pour le Sénégal qui verra la création de nouveaux emplois directs et indirects par ce biais et de nouvelles opportunités de carrière pour les salariés concernés qui souhaitent joindre cette nouvelle entité», a-t-il rassuré.
C’est d’une part le Global network operating center (Gnoc), c’est-à-dire un centre commun avec la mutualisation des équipes d’exploitation du réseau cœur.
D’autre part, il s’agit de l’outsourcing du ran (radio access network ou réseaux d’accès radio) avec l’externalisation de l’exploitation du réseau d’accès qui n’est pas encore d’actualité à la Société nationale des télécommunications du Sénégal (Sonatel).
«Le projet de transformation à l’ordre du jour pour Sonatel est donc celui de la mutualisation de l’activité d’exploitation de l’ensemble du cœur des réseaux et des plateformes de services», a expliqué M. Dieng.
Selon la directrice de l’exploitation réseaux de la Sonatel, Fatou Sène Diagne, le Gnoc sera créé au Sénégal par le groupe Sonatel (Sénégal, Mali, Guinée, Guinée Bissau et 5 autres pays du groupe Orange en Afrique (République centraficaine, Cameroun, Niger, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo).
D’après Mme Diagne, la mise en place du Gnoc à Dakar est prévue le 1ier février 2016 en mode build operate and transfert (Bot) sur 3 à 5 ans. «Le transfert se fera ensuite à une structure qui appartiendra aux filiales utilisatrices», a-t-elle précisé.
Selon le directeur du projet de transformation, Huaweil a été désigné, au terme du processus de mise en compétition des Managed services partners ou fournisseurs de services (Msp), comme adjudicataire avec la création avec la création du d’un Gnoc sur deux sites : Abidjan et Dakar, avec le siège à Dakar.
«Ano est un projet structurant pour tous les opérateurs qui veulent maintenir leur compétitivité et s’adapter ainsi aux changements de leur environnement afin de continuer à proposer des baisses de tarifs à leurs clients», a-t-il expliqué.
Selon le directeur des ressources humaines, Mamadou L. Thiam, le nombre de personnes concernées à Sonatel est de 34 pour ce projet. «C’est une opportunité pour le Sénégal qui verra la création de nouveaux emplois directs et indirects par ce biais et de nouvelles opportunités de carrière pour les salariés concernés qui souhaitent joindre cette nouvelle entité», a-t-il rassuré.
