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En deuxième lieu, il a été retenu que la mise à jour du RNU a permis une amélioration significative de la qualité du ciblage surtout pour ce qui concerne les perdus de vue.
Dans le même temps, il a été noté que la combinaison de la liste du RNU et de la méthode utilisée permet d'améliorer la précision. Pour ce faire, un travail sera conduit dans les mois à venir afin d'harmoniser les approches et d'aller vers des méthodes de ciblage consensuelles en partant de la base de données du RNU.
Selon le délégué général de la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN), Dr Anta Sarr Diacko, la base de données du RNU qui est constituée de 442 053 ménages a servi de base à différents partenaires pour le ciblage des ménages soumis à l'insécurité alimentaire.
Mis en place par le gouvernement, le RNU se veut en effet un élément centralisateur de la politique sociale du Sénégal et l'outil de référence qui peut servir de socle pour les besoins du ciblage des programmes sociaux des ministères sectoriels, des partenaires techniques et financiers, de la société civile et de tous les acteurs s'activant dans le domaine de la pauvreté et de la vulnérabilité.
Et, suite à la validation au mois de mai 2018 du Plan d'urgence pour la sécurité alimentaire (PUSA) d'un coût global de 11 271 978 263 FCFA, une opération d'assistance aux 47 251 ménages les plus touchés par l'insécurité alimentaire a été déclenchée, dans les départements de Podor, Matam, Kanel, Ranérou, Goudiry et Tambacounda (qui sont projetés en phase 3).
Et avec les développements majeurs ayant lieu en 2018-2019, la DGPSN a jugé nécessaire d'organiser aujourd'hui cet atelier de partage d'expérience et de définition des perspectives en partenariat avec le Collectif pour le renforcement de la réponse à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sénégal (CORRIANS).
En termes de perspectives, la DGPSN entend renforcer l'implication des autorités administratives et la communication et de réfléchir sur la possibilité de la digitalisation. A cet égard, un groupe de travail RNU ouvert aux partenaires techniques (Ong nationales et internationales ) sera mis en place.
Dans le même temps, il a été noté que la combinaison de la liste du RNU et de la méthode utilisée permet d'améliorer la précision. Pour ce faire, un travail sera conduit dans les mois à venir afin d'harmoniser les approches et d'aller vers des méthodes de ciblage consensuelles en partant de la base de données du RNU.
Selon le délégué général de la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN), Dr Anta Sarr Diacko, la base de données du RNU qui est constituée de 442 053 ménages a servi de base à différents partenaires pour le ciblage des ménages soumis à l'insécurité alimentaire.
Mis en place par le gouvernement, le RNU se veut en effet un élément centralisateur de la politique sociale du Sénégal et l'outil de référence qui peut servir de socle pour les besoins du ciblage des programmes sociaux des ministères sectoriels, des partenaires techniques et financiers, de la société civile et de tous les acteurs s'activant dans le domaine de la pauvreté et de la vulnérabilité.
Et, suite à la validation au mois de mai 2018 du Plan d'urgence pour la sécurité alimentaire (PUSA) d'un coût global de 11 271 978 263 FCFA, une opération d'assistance aux 47 251 ménages les plus touchés par l'insécurité alimentaire a été déclenchée, dans les départements de Podor, Matam, Kanel, Ranérou, Goudiry et Tambacounda (qui sont projetés en phase 3).
Et avec les développements majeurs ayant lieu en 2018-2019, la DGPSN a jugé nécessaire d'organiser aujourd'hui cet atelier de partage d'expérience et de définition des perspectives en partenariat avec le Collectif pour le renforcement de la réponse à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sénégal (CORRIANS).
En termes de perspectives, la DGPSN entend renforcer l'implication des autorités administratives et la communication et de réfléchir sur la possibilité de la digitalisation. A cet égard, un groupe de travail RNU ouvert aux partenaires techniques (Ong nationales et internationales ) sera mis en place.
