Cette accréditation constitue, aux yeux de son directeur général, Ibrahima Kane, un jalon important dans l’accès du Sénégal aux dispositifs internationaux très importants des financements climatiques.
«Cette accréditation sera l’occasion pour le Fonsis de renforcer le suivi des impacts environnementaux et sociaux», a-t-il dit au cours du séminaire de mise à niveau des mmebres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes), tenu le week-end dernier.
Dans ce sens, M. Kane a parlé de la politique du genre que le Fonsis compte mettre en œuvre en 2018. «Le Fonsis travaille à une approche plus proactive pour développer notre pipeline de sociétés menées ou détenues par des femmes», a-t-il fait savoir.
«En effet, de nombreuses études montrent que cela entraîne très souvent un impact positif sur les femmes, aussi bien employées, clientes ou fournisseurs, et plus globalement sur la société», a-t-il expliqué.
D’après lui, cette approche proactive inclura le développement de partenariats avec des réseaux de femmes entrepreneurs, ou investisseurs et le sourcing (recherche de source) des projets dans des secteurs où les femmes sont très fortement représentées (agri business, santé, services, microfinance...).
Le Fonds vert climat (Fvc) a été établi par la Convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques (Unfccc) afin de contribuer aux efforts globaux de réduction des émissions de CO2 (dioxyde de carbone ou gaz carbonique), en aidant les pays en développement à réduire leurs émissions et à s’adapter à l’impact des changements climatiques.
Les financements du Fvc se font à travers des entités accréditées. C’est ce qu’a fait le Fonsis qui a commencé à instruire son dossier d’accréditation en 2017.
Espérons qu’il aura une suite favorable à sa demande.
«Cette accréditation sera l’occasion pour le Fonsis de renforcer le suivi des impacts environnementaux et sociaux», a-t-il dit au cours du séminaire de mise à niveau des mmebres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes), tenu le week-end dernier.
Dans ce sens, M. Kane a parlé de la politique du genre que le Fonsis compte mettre en œuvre en 2018. «Le Fonsis travaille à une approche plus proactive pour développer notre pipeline de sociétés menées ou détenues par des femmes», a-t-il fait savoir.
«En effet, de nombreuses études montrent que cela entraîne très souvent un impact positif sur les femmes, aussi bien employées, clientes ou fournisseurs, et plus globalement sur la société», a-t-il expliqué.
D’après lui, cette approche proactive inclura le développement de partenariats avec des réseaux de femmes entrepreneurs, ou investisseurs et le sourcing (recherche de source) des projets dans des secteurs où les femmes sont très fortement représentées (agri business, santé, services, microfinance...).
Le Fonds vert climat (Fvc) a été établi par la Convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques (Unfccc) afin de contribuer aux efforts globaux de réduction des émissions de CO2 (dioxyde de carbone ou gaz carbonique), en aidant les pays en développement à réduire leurs émissions et à s’adapter à l’impact des changements climatiques.
Les financements du Fvc se font à travers des entités accréditées. C’est ce qu’a fait le Fonsis qui a commencé à instruire son dossier d’accréditation en 2017.
Espérons qu’il aura une suite favorable à sa demande.