S’exprimant ce mardi lors de la revue du portefeuille de son Institution au Sénégal, elle a ainsi cité, entre autres, les défis de mise en œuvre liés au respect des politiques de sauvegarde environnementales et sociales, à la situation budgétaire particulièrement tendue du gouvernement qui, selon elle, a entraîné une insuffisance des fonds de contrepartie, en particulier pour supporter les coûts de réinstallation des personnes affectées par les projets.
Elle a également soulevé les défis liés aux retards de paiement des fournisseurs et des entrepreneurs et aux difficultés rencontrées pour obtenir des approbations efficaces des contrats d’approvisionnement entre les ministères sectoriels et le ministère des Finances.
Autant de défis qui, semble-t-il dire, ne militent pas en faveur d’une bonne exécution des programmes financés par la Banque.
«Cela limite le potentiel de notre programme pour produire l'ensemble des résultats complets et des impacts attendus, créant des demandes de prolongations - qu'il sera difficile de satisfaire- et des retards dans l’exécution des projets», a déclaré Mme Cord.
Dans l’avenir, la Banque veut éviter de faire dans la dispersion et entend concentrer ses efforts sur des secteurs valorisant.
«Dans la perspective, et ce, dans le cadre de notre nouvelle stratégie de partenariat en cours d’élaboration, nous cherchons à consolider notre portefeuille et nos domaines d’engagement, et à nous concentrer sur quelques projets dans des secteurs clés où nous pouvons avoir la plus grande valeur ajoutée afin de nous concentrer sur l’appui à la mise en œuvre, tout en augmentant les financements via l'appui budgétaire», a-t-elle indiqué.
«Ceci nous permettra de continuer à travailler sur des mécanismes visant à renforcer la responsabilité et l'appropriation du gouvernement pour ainsi faciliter les décaissements, identifier clairement les enseignements tirés de nos stratégies antérieures et renforcer les capacités nationales sur les sauvegardes sociales et environnementales afin que nous puissions nous appuyer de plus en plus sur les procédures/exigences nationales dans ces domaines, conformément à notre nouvelle politique de sauvegarde de la Banque mondiale», a ajouté Louise J. Cord.
Cette nouvelle politique a été présentée et discutée au cours de cette revue du Portefeuille de la Banque mondiale au Sénégal.
Elle a également soulevé les défis liés aux retards de paiement des fournisseurs et des entrepreneurs et aux difficultés rencontrées pour obtenir des approbations efficaces des contrats d’approvisionnement entre les ministères sectoriels et le ministère des Finances.
Autant de défis qui, semble-t-il dire, ne militent pas en faveur d’une bonne exécution des programmes financés par la Banque.
«Cela limite le potentiel de notre programme pour produire l'ensemble des résultats complets et des impacts attendus, créant des demandes de prolongations - qu'il sera difficile de satisfaire- et des retards dans l’exécution des projets», a déclaré Mme Cord.
Dans l’avenir, la Banque veut éviter de faire dans la dispersion et entend concentrer ses efforts sur des secteurs valorisant.
«Dans la perspective, et ce, dans le cadre de notre nouvelle stratégie de partenariat en cours d’élaboration, nous cherchons à consolider notre portefeuille et nos domaines d’engagement, et à nous concentrer sur quelques projets dans des secteurs clés où nous pouvons avoir la plus grande valeur ajoutée afin de nous concentrer sur l’appui à la mise en œuvre, tout en augmentant les financements via l'appui budgétaire», a-t-elle indiqué.
«Ceci nous permettra de continuer à travailler sur des mécanismes visant à renforcer la responsabilité et l'appropriation du gouvernement pour ainsi faciliter les décaissements, identifier clairement les enseignements tirés de nos stratégies antérieures et renforcer les capacités nationales sur les sauvegardes sociales et environnementales afin que nous puissions nous appuyer de plus en plus sur les procédures/exigences nationales dans ces domaines, conformément à notre nouvelle politique de sauvegarde de la Banque mondiale», a ajouté Louise J. Cord.
Cette nouvelle politique a été présentée et discutée au cours de cette revue du Portefeuille de la Banque mondiale au Sénégal.