«Au terme de l'analyse des données collectées par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO), il ressort que les risques opérationnels représentant 57,31% de l'effectif total des risques recensés, sont prédominants dans le secteur. Ils sont suivis des risques juridiques avec un taux de 40,11%», indique la Banque centrale dans son rapport semestre de surveillance des paiements adossés à la monnaie électronique.
A cet égard, la Banque centrale a noté de nombreuses préoccupations posées par les activités de monnaie électronique. Il est apparu alors nécessaire pour elle de s'assurer que les émetteurs mettent en place des dispositifs adéquats leur permettant d'identifier et de gérer les risques liés à leurs activités.
Dans ce contexte, la BCEAO a élaboré une cartographie des risques inhérents aux services de paiement adossés à la monnaie électronique (SPAME). Ce dispose poursuit plusieurs objectifs de mise en œuvre lesquels ceux de disposer d'une synthèse des contrôles internes généralement définis par les prestataires de SPAME ; d’identifier les risques transversaux ou émergents du secteur et définir des plans de surveillance prenant prioritairement en compte les risques critiques ou majeurs des SPAME.
Ils portent sur la formulation des recommandations en vue du renforcement des dispositifs de maîtrise des risques mis en place par les prestataires et l’identification, sur la base des incidents récurrents et des risques émergents, des pistes de révision de la réglementation.
A cet égard, la Banque centrale a noté de nombreuses préoccupations posées par les activités de monnaie électronique. Il est apparu alors nécessaire pour elle de s'assurer que les émetteurs mettent en place des dispositifs adéquats leur permettant d'identifier et de gérer les risques liés à leurs activités.
Dans ce contexte, la BCEAO a élaboré une cartographie des risques inhérents aux services de paiement adossés à la monnaie électronique (SPAME). Ce dispose poursuit plusieurs objectifs de mise en œuvre lesquels ceux de disposer d'une synthèse des contrôles internes généralement définis par les prestataires de SPAME ; d’identifier les risques transversaux ou émergents du secteur et définir des plans de surveillance prenant prioritairement en compte les risques critiques ou majeurs des SPAME.
Ils portent sur la formulation des recommandations en vue du renforcement des dispositifs de maîtrise des risques mis en place par les prestataires et l’identification, sur la base des incidents récurrents et des risques émergents, des pistes de révision de la réglementation.