Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. La solution à la problématique de la dégradation des terres arables sénégalaises est bien là. C’est l’agroforesterie. Et l’Association des journalistes pour la transparence dans les ressources extractives et la préservation de l'environnement (Ajtrepe) l’a bien vu. Pour avoir posé hier le débat public sur cette piste dans le cadre de la journée mondiale de l’environnement célébrée ce 05 juin 2024.
En l’indiquant comme piste de solution non seulement pour la restauration des terres, mais aussi pour l’autosuffisance alimentaire et la régénération des forêts, ces professionnels de l’information et de la communication ont bien compris ses multiples avantages qu’il faut exploiter pour en tirer meilleur profit.
Venu présidé la cérémonie officielle de cette conférence publique, le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Pr Daouda Ngom, en a relevé quelques-uns de ces avantages.
« … L'agroforesterie, nonobstant son rôle dans l’atténuation des effets des changements climatiques, contribue à renforcer la durabilité et la résilience climatique du système alimentaire des communautés rurales à travers l’amélioration des rendements agricoles, l’accroissement des revenus. Elle contribue aussi à l’amélioration des écosystèmes naturels pour la conservation des habitats et de la biodiversité », a-t-il souligné.
Au Sénégal, rien que pour ces avantages, l’agroforesterie mérite d’être érigée au rang des priorités nationales pour résoudre la problématique de la dégradation des terres arables à laquelle sont confrontées les autorités. Et ce n’est pas le ministre qui dira le contraire.
« Malheureusement, si des mesures hardies ne sont pas prises, ce phénomène va s’accentuer du fait de l’augmentation des besoins en ressources naturelles accentuée par la forte croissance démographique », a-t-il averti.
« Par conséquent, il est nécessaire, voire, urgent d’accompagner les pratiques agricoles par des actions d’agroforesterie pour assurer une résilience des communautés et des écosystèmes », a-t-il indiqué.
A cet égard, le ministre a lancé un appel pour une meilleure synergie et complémentarité sectorielle. « Je voudrais inviter l’ensemble des acteurs impliqués à promouvoir une collaboration intersectorielle en fédérant et en prenant en compte les préoccupations relatives à la préservation et la réhabilitation des écosystèmes forestiers, en vue d’une sécurité alimentaire, une stabilité économique et une durabilité écologique dans notre pays », a-t-il lancé.
En outre, le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique a fait part de l’engagement de son département à accompagner l’Association des journalistes pour la transparence dans les ressources extractives et la préservation de l'environnement dans ses programmes de lutte contre la désertification et la dégradation des terres.
En l’indiquant comme piste de solution non seulement pour la restauration des terres, mais aussi pour l’autosuffisance alimentaire et la régénération des forêts, ces professionnels de l’information et de la communication ont bien compris ses multiples avantages qu’il faut exploiter pour en tirer meilleur profit.
Venu présidé la cérémonie officielle de cette conférence publique, le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Pr Daouda Ngom, en a relevé quelques-uns de ces avantages.
« … L'agroforesterie, nonobstant son rôle dans l’atténuation des effets des changements climatiques, contribue à renforcer la durabilité et la résilience climatique du système alimentaire des communautés rurales à travers l’amélioration des rendements agricoles, l’accroissement des revenus. Elle contribue aussi à l’amélioration des écosystèmes naturels pour la conservation des habitats et de la biodiversité », a-t-il souligné.
Au Sénégal, rien que pour ces avantages, l’agroforesterie mérite d’être érigée au rang des priorités nationales pour résoudre la problématique de la dégradation des terres arables à laquelle sont confrontées les autorités. Et ce n’est pas le ministre qui dira le contraire.
« Malheureusement, si des mesures hardies ne sont pas prises, ce phénomène va s’accentuer du fait de l’augmentation des besoins en ressources naturelles accentuée par la forte croissance démographique », a-t-il averti.
« Par conséquent, il est nécessaire, voire, urgent d’accompagner les pratiques agricoles par des actions d’agroforesterie pour assurer une résilience des communautés et des écosystèmes », a-t-il indiqué.
A cet égard, le ministre a lancé un appel pour une meilleure synergie et complémentarité sectorielle. « Je voudrais inviter l’ensemble des acteurs impliqués à promouvoir une collaboration intersectorielle en fédérant et en prenant en compte les préoccupations relatives à la préservation et la réhabilitation des écosystèmes forestiers, en vue d’une sécurité alimentaire, une stabilité économique et une durabilité écologique dans notre pays », a-t-il lancé.
En outre, le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique a fait part de l’engagement de son département à accompagner l’Association des journalistes pour la transparence dans les ressources extractives et la préservation de l'environnement dans ses programmes de lutte contre la désertification et la dégradation des terres.