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C’est parti pour une décennie de promotion d’accès à une énergie propre. Le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, en partenariat avec le ministère en charge de l’Environnement et de la GIZ, a lancé hier à Dakar une stratégie nationale de combustibles de cuisson propre et de biocarburants.
Venu présidé la cérémonie de lancement de cette initiative en présence de ces partenaires techniques et institutionnels, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Birame Soulèye Diop a justifié cette initiative par l’urgence de combler le déficit d’accès à une énergie de cuisson propre et à la bioénergie au Sénégal.
Evaluant à 73 milliards FCFA le coût d’investissement de la mise en œuvre de cette stratégie décennale, il a invité les partenaires du Sénégal à financer davantage des projets prioritaires relatifs au butane, aux foyers améliorés, au biogaz, aux biocarburants et à la cuisson électrique.
S’appuyant sur les résultats agrégés d’une récente enquête, le ministre dira que les bois de chauffe et charbon de bois occupent 42 pour cent des énergies finales utilisées par les ménages sénégalais dont 43 pour cent n’ont pas accès aux énergies et technologies de cuisson propre.
Selon lui, ces résultats font apparaître des consommations nationales annuelles de 1 601 631 tonnes pour le bois de chauffe, 744 703 tonnes de charbon de bois et 253 508 tonnes de gaz. Une façon de montrer les difficultés d’accès aux services énergétiques modernes qui touchent particulièrement les femmes représentant 49,4 pour cent de la population.
Pour sa part, le représentant de l’ambassadeur d’Allemagne à Dakar, Philippe Mestinge, a réitéré l’engagement de la coopération allemande à accompagner le Sénégal dans la mise en œuvre des solutions durables visant à améliorer l’accès aux technologies de cuisson respectueuses de l’environnement.
A son tour, le représentant du ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, le colonel Babacar Dione, a souligné l’urgence d’accélérer la transition vers des sources d’énergie plus durable et accessible à tous.
A cet égard, il a plaidé pour un changement des habitudes de consommation énergétique tout en se félicitant de la diminution de la consommation du bois de chauffe, passant de 195 kg par habitant et par an en 1992 à 88 kg en 2024.
Venu présidé la cérémonie de lancement de cette initiative en présence de ces partenaires techniques et institutionnels, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Birame Soulèye Diop a justifié cette initiative par l’urgence de combler le déficit d’accès à une énergie de cuisson propre et à la bioénergie au Sénégal.
Evaluant à 73 milliards FCFA le coût d’investissement de la mise en œuvre de cette stratégie décennale, il a invité les partenaires du Sénégal à financer davantage des projets prioritaires relatifs au butane, aux foyers améliorés, au biogaz, aux biocarburants et à la cuisson électrique.
S’appuyant sur les résultats agrégés d’une récente enquête, le ministre dira que les bois de chauffe et charbon de bois occupent 42 pour cent des énergies finales utilisées par les ménages sénégalais dont 43 pour cent n’ont pas accès aux énergies et technologies de cuisson propre.
Selon lui, ces résultats font apparaître des consommations nationales annuelles de 1 601 631 tonnes pour le bois de chauffe, 744 703 tonnes de charbon de bois et 253 508 tonnes de gaz. Une façon de montrer les difficultés d’accès aux services énergétiques modernes qui touchent particulièrement les femmes représentant 49,4 pour cent de la population.
Pour sa part, le représentant de l’ambassadeur d’Allemagne à Dakar, Philippe Mestinge, a réitéré l’engagement de la coopération allemande à accompagner le Sénégal dans la mise en œuvre des solutions durables visant à améliorer l’accès aux technologies de cuisson respectueuses de l’environnement.
A son tour, le représentant du ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, le colonel Babacar Dione, a souligné l’urgence d’accélérer la transition vers des sources d’énergie plus durable et accessible à tous.
A cet égard, il a plaidé pour un changement des habitudes de consommation énergétique tout en se félicitant de la diminution de la consommation du bois de chauffe, passant de 195 kg par habitant et par an en 1992 à 88 kg en 2024.
