Concrètement, il s’agira de renforcer la gestion durable des forêts et des terres, faire face aux menaces transfrontalières qui pèsent sur les forêts et optimiser les moyens d’existence des communautés tributaires de la forêt; et renforcer la résilience climatique dans 15 pays d’Afrique de l’Ouest.
Le projet sera mis en œuvre par la CEDEAO moyennant un soutien financier de plus de 8 millions de dollars de l’ASDI et l’appui technique de la FAO. Il permettra: d’étendre les connaissances actuelles pour une meilleure compréhension du fonctionnement des forêts; de soutenir les réformes juridiques; de déterminer les meilleures pratiques de gestion forestière avec la participation des communautés, et de les partager dans l’ensemble de la région.
Le Plan de convergence pour la gestion et l’utilisation durables des écosystèmes forestiers en Afrique de l’Ouest a été adopté par la CEDEAO en 2013. Une des conditions préalables à la réalisation du Plan sera de mobiliser un soutien politique, institutionnel, financier et technique dans les 15 Etats membres de la CEDEAO afin de pouvoir apporter des réponses aux défis forestiers d’ampleur transfrontalière.
«Nous sommes très heureux d’être partenaires de la CEDEAO et de la FAO dans la gestion des forêts transfrontalières en Afrique de l’Ouest. C’est un projet très important pour les populations et les gouvernements de la région, et pour relayer les efforts internationaux visant à atténuer le changement climatique et l’appauvrissement de la biodiversité», a déclaré Ulla Andrén, Responsable de la coopération pour le développement régional en Afrique subsaharienne à l’ASDI.
«C’est grâce à des partenariats solides que le Plan de convergence des forêts a pu voir le jour», a souligné Tiina Vahanen, en charge de la division des politiques et des ressources forestières de la FAO. «Il est maintenant temps de passer à l’action. Le projet constitue une étape concrète pour faire en sorte que la gestion des forêts progresse dans la région. Le projet viendra vivifier la dynamique lancée ces dernières années pour préserver les forêts d’Afrique de l’Ouest».
«La Commission de la CEDEAO est ravie de travailler avec l’ASDI et la FAO pour mettre en œuvre ce projet. Nous tenons à remercier l’ASDI pour son soutien continu à la CEDEAO au cours des années passées, et en particulier le Département de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eau, pour son soutien concernant les problématiques liées à l’environnement, au changement climatique, aux ressources en eau et, maintenant, aux forêts. Les problèmes de foresterie interagissent avec les moyens d’existence des personnes et des communautés. Renforcer la résilience face au dérèglement climatique, ainsi que la gestion durable des écosystèmes forestiers transfrontaliers sont des éléments clés de ce projet», a précisé Johnson Boanuh, directeur de l’environnement de la Commission de la CEDEAO.
Le projet sera mis en œuvre par la CEDEAO moyennant un soutien financier de plus de 8 millions de dollars de l’ASDI et l’appui technique de la FAO. Il permettra: d’étendre les connaissances actuelles pour une meilleure compréhension du fonctionnement des forêts; de soutenir les réformes juridiques; de déterminer les meilleures pratiques de gestion forestière avec la participation des communautés, et de les partager dans l’ensemble de la région.
Le Plan de convergence pour la gestion et l’utilisation durables des écosystèmes forestiers en Afrique de l’Ouest a été adopté par la CEDEAO en 2013. Une des conditions préalables à la réalisation du Plan sera de mobiliser un soutien politique, institutionnel, financier et technique dans les 15 Etats membres de la CEDEAO afin de pouvoir apporter des réponses aux défis forestiers d’ampleur transfrontalière.
«Nous sommes très heureux d’être partenaires de la CEDEAO et de la FAO dans la gestion des forêts transfrontalières en Afrique de l’Ouest. C’est un projet très important pour les populations et les gouvernements de la région, et pour relayer les efforts internationaux visant à atténuer le changement climatique et l’appauvrissement de la biodiversité», a déclaré Ulla Andrén, Responsable de la coopération pour le développement régional en Afrique subsaharienne à l’ASDI.
«C’est grâce à des partenariats solides que le Plan de convergence des forêts a pu voir le jour», a souligné Tiina Vahanen, en charge de la division des politiques et des ressources forestières de la FAO. «Il est maintenant temps de passer à l’action. Le projet constitue une étape concrète pour faire en sorte que la gestion des forêts progresse dans la région. Le projet viendra vivifier la dynamique lancée ces dernières années pour préserver les forêts d’Afrique de l’Ouest».
«La Commission de la CEDEAO est ravie de travailler avec l’ASDI et la FAO pour mettre en œuvre ce projet. Nous tenons à remercier l’ASDI pour son soutien continu à la CEDEAO au cours des années passées, et en particulier le Département de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eau, pour son soutien concernant les problématiques liées à l’environnement, au changement climatique, aux ressources en eau et, maintenant, aux forêts. Les problèmes de foresterie interagissent avec les moyens d’existence des personnes et des communautés. Renforcer la résilience face au dérèglement climatique, ainsi que la gestion durable des écosystèmes forestiers transfrontaliers sont des éléments clés de ce projet», a précisé Johnson Boanuh, directeur de l’environnement de la Commission de la CEDEAO.