Des écarts de déclarations, il y en a eu sur toutes les exportations de minerais (or, argent, ciment et acides phosphoriques) en 2022. Mais quantitativement, ceux de l’acide phosphorique sont de loin beaucoup plus énormes que les autres minerais.
En effet, selon la déclaration de la société les Industries chimiques du Sénégal (ICS), les exportations de l’acide phosphorique s’élèvent à 534 milliards de FCFA alors que selon celle de la direction générale des Douanes (DGD) s’élèvent à 173 milliards de FCFA, soit des écarts de 360 882 543 497 FCFA.
Ces écarts sont tellement énormes au point d’attirer l’attention de l’administrateur indépendant (AI) du rapport qui cherche à savoir son origine. « Ces écarts doivent faire l’objet d’analyse approfondie par les parties déclarantes afin d’expliquer leur origine et en tenir compte dans les déclarations futurs », a-t-il indiqué. Et d’ajouter : « L’analyse des écarts permettra également de revoir le processus de contrôle et de suivi des exportations par l’Etat. »
Pour les autres écarts (voir le rapport). Lequel note que les exportations des minerais représentent 82 pour cent des exportations globales reportées et que le total des exportations du secteur extractif est de 1 380,96 milliards de FCFA sur un total général production 1 171 132 114 387 tonnes.
Et ce sont la DGD et le Comité national ITIE Sénégal qui sont interpellés. Il leur appartient donc d’identifier et de résoudre ces problèmes soulevés afin de les tirer au clair.
En effet, selon la déclaration de la société les Industries chimiques du Sénégal (ICS), les exportations de l’acide phosphorique s’élèvent à 534 milliards de FCFA alors que selon celle de la direction générale des Douanes (DGD) s’élèvent à 173 milliards de FCFA, soit des écarts de 360 882 543 497 FCFA.
Ces écarts sont tellement énormes au point d’attirer l’attention de l’administrateur indépendant (AI) du rapport qui cherche à savoir son origine. « Ces écarts doivent faire l’objet d’analyse approfondie par les parties déclarantes afin d’expliquer leur origine et en tenir compte dans les déclarations futurs », a-t-il indiqué. Et d’ajouter : « L’analyse des écarts permettra également de revoir le processus de contrôle et de suivi des exportations par l’Etat. »
Pour les autres écarts (voir le rapport). Lequel note que les exportations des minerais représentent 82 pour cent des exportations globales reportées et que le total des exportations du secteur extractif est de 1 380,96 milliards de FCFA sur un total général production 1 171 132 114 387 tonnes.
Et ce sont la DGD et le Comité national ITIE Sénégal qui sont interpellés. Il leur appartient donc d’identifier et de résoudre ces problèmes soulevés afin de les tirer au clair.