La pression inflationniste persiste dans la zone de l'UMOA. C'est du moins ce qu'a relevé les ministres de l'UMOA qui examinaient l’évolution récente des économies de l’Union. Selon eux, la hausse des prix au cours du trimestre 2022 a atteint un niveau de 8,4 pour cent, après 7,0 pour cent un trimestre plus tôt.
Une hausse qu'ils lient essentiellement au renchérissement des produits alimentaires de grande consommation et du transport, consécutif à l’ajustement des prix à la pompe des produits pétroliers par les pays de l’Union suite à l’envolée des cours mondiaux du pétrole.
Mais ils annoncent de bonnes perspectives. "L’inflation devrait s’inscrire dans une dynamique baissière, passant de 7,5 pour cent en 2022 à 5,6 pour cent en 2023 et 2,9 pour cent en 2024", projettent-ils.
"Cette évolution serait imprimée par la poursuite de la normalisation de la politique monétaire entamée depuis juin 2022, l’amélioration de la production vivrière pour la campagne 2022/2023 et la détente des cours mondiaux des matières premières, notamment énergétiques et alimentaires", estiment-ils.
Une hausse qu'ils lient essentiellement au renchérissement des produits alimentaires de grande consommation et du transport, consécutif à l’ajustement des prix à la pompe des produits pétroliers par les pays de l’Union suite à l’envolée des cours mondiaux du pétrole.
Mais ils annoncent de bonnes perspectives. "L’inflation devrait s’inscrire dans une dynamique baissière, passant de 7,5 pour cent en 2022 à 5,6 pour cent en 2023 et 2,9 pour cent en 2024", projettent-ils.
"Cette évolution serait imprimée par la poursuite de la normalisation de la politique monétaire entamée depuis juin 2022, l’amélioration de la production vivrière pour la campagne 2022/2023 et la détente des cours mondiaux des matières premières, notamment énergétiques et alimentaires", estiment-ils.