Si l’information contractuelle fournit par les banques est négativement appréciée par les clients de banque, il n’en est pas autant pour ceux des services financiers décentralisés (Sfd).
En effet, selon les résultats d’une récente enquête d’opinion de l’Observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf) du Sénégal, 40,6 pour cent de la clientèle bancaire interrogée déclare n’avoir pas reçu d’information sur les tarifs au moment de l’ouverture du compte bancaire.
Au niveau des Sfd par contre, 62,2 pour cent des clients soutiennent que les informations fournies avant la signature du contrat de prêt sont précises.
Concernant la qualité des informations fournies sur leurs obligations, 60,10 pour cent des clients de banque soutiennent qu’elles sont incomplètes. C’est tout le contraire au niveau des Sfd où 82,30 pour cent des clients déclarent que les informations sont complètes.
Néanmoins, les clients apprécient positivement les conseils qui leur sont fournis et la capacité d’écoute du conseiller bancaire.
Les résultats de l’étude portant perception des clients sur la qualité de l’information contractuelle ont été présentés par Dr Aliou Diop, expert financier chez Oqsf, aux associations de consommateurs lors d’un récent atelier de sensibilisation et de formation.
Appréciation du taux effectif global et du taux d’intérêt débiteur
Se prononçant sur le taux effectif global (Teg), les clients de banque apprécient diversement. Certains déclarent avoir été informés par écrit, d’autres oralement et une autre catégorie dit n’être pas informé.
Appréciant le niveau des taux d’intérêt débiteurs appliqués, la majorité soutient qu’il est élevé et même très élevé.
Par contre chez les Sfd, l’écrasante majorité des clients déclarent que les informations fournies sur les conditions de prêt sont bonnes voire très bonnes. Ils ont la même appréciation positive en ce qui concerne les informations fournies sur le Teg lors de l’octroi de prêt. De même, ils attribuent une bonne note à la présentation et les détails apportés à la composition du Teg.
Mais ils jugent «élevés voire très élevés» le niveau des taux d’intérêt débiteurs de leurs institutions de micro finance. C’est là où le bas blesse.
En effet, selon les résultats d’une récente enquête d’opinion de l’Observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf) du Sénégal, 40,6 pour cent de la clientèle bancaire interrogée déclare n’avoir pas reçu d’information sur les tarifs au moment de l’ouverture du compte bancaire.
Au niveau des Sfd par contre, 62,2 pour cent des clients soutiennent que les informations fournies avant la signature du contrat de prêt sont précises.
Concernant la qualité des informations fournies sur leurs obligations, 60,10 pour cent des clients de banque soutiennent qu’elles sont incomplètes. C’est tout le contraire au niveau des Sfd où 82,30 pour cent des clients déclarent que les informations sont complètes.
Néanmoins, les clients apprécient positivement les conseils qui leur sont fournis et la capacité d’écoute du conseiller bancaire.
Les résultats de l’étude portant perception des clients sur la qualité de l’information contractuelle ont été présentés par Dr Aliou Diop, expert financier chez Oqsf, aux associations de consommateurs lors d’un récent atelier de sensibilisation et de formation.
Appréciation du taux effectif global et du taux d’intérêt débiteur
Se prononçant sur le taux effectif global (Teg), les clients de banque apprécient diversement. Certains déclarent avoir été informés par écrit, d’autres oralement et une autre catégorie dit n’être pas informé.
Appréciant le niveau des taux d’intérêt débiteurs appliqués, la majorité soutient qu’il est élevé et même très élevé.
Par contre chez les Sfd, l’écrasante majorité des clients déclarent que les informations fournies sur les conditions de prêt sont bonnes voire très bonnes. Ils ont la même appréciation positive en ce qui concerne les informations fournies sur le Teg lors de l’octroi de prêt. De même, ils attribuent une bonne note à la présentation et les détails apportés à la composition du Teg.
Mais ils jugent «élevés voire très élevés» le niveau des taux d’intérêt débiteurs de leurs institutions de micro finance. C’est là où le bas blesse.