L'Union européenne exigera à partir du 1er octobre que les producteurs de biens importés divulguent la quantité de gaz à effet de serre - les émissions qui retiennent la chaleur, augmentant les températures mondiales - impliquées dans leurs processus de production.

La mesure, communément appelée taxe carbone aux frontières, a été saluée par certains comme une étape majeure de l'action climatique, mais elle aura également un coût. David Luke explique  comment cela pourrait coûter aux pays africains 0,91 % combiné de leur production économique (mesurée par le PIB), soit environ 25 milliards de dollars par an.

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