L'intérêt pour les programmes d'enseignement supérieur en management (GME) en 2021 continue de grandir parmi les étudiants potentiels, une tendance qui coïncide avec la baisse des inquiétudes suscitées par l'impact de la COVID-19, selon un nouveau rapport publié aujourd'hui par le GMAC™ (Graduate Management Admission Council). Le rapport sur l'enquête menée auprès des étudiants sur mba.com publié par le Conseil en 2021 révèle que la proportion de répondants se disant extrêmement ou très préoccupés par la COVID-19 est passée de 41 à 33 % au cours de la période visée par l'enquête. En outre, trois candidats internationaux sur quatre (73 %) qui prévoient de poursuivre un MBA en dehors de leur pays de citoyenneté ne changent pas leurs plans d'origine malgré la pandémie.
Conclusions principales
Les candidates sont plus réceptives à l'enseignement à distance que les hommes
Même si les études ont suggéré que l'impact de la COVID-19 était particulièrement grave pour les femmes, du fait qu'elles ont dû assumer plus de responsabilités dans l'enseignement et le travail à distance, le rapport du GMAC révèle que de nombreuses candidates demeurent sous-évaluées et se montrent prêtes à adapter leurs projets d'enseignement supérieur. Plus précisément, les candidates sont plus susceptibles de rechercher la flexibilité de l'apprentissage en ligne que les hommes. Elles sont prêtes à accepter qu'une proportion plus élevée de leur diplôme soit complétée en ligne, et davantage susceptibles de convenir que les opportunités de carrière acquises grâce à un diplôme de commerce supérieur obtenu en présentiel sont les mêmes que celles obtenues via un diplôme en ligne.
« Alors que la disponibilité des vaccins se renforce, les étudiants potentiels du monde entier commencent à entrevoir la fin de la pandémie », a déclaré Sangeet Chowfla, président-directeur général du GMAC. « Il est particulièrement encourageant de voir que des candidates sont à la recherche de diplômes de commerce supérieurs pour obtenir des avantages professionnels malgré les défis et les obstacles uniques auxquels elles sont confrontées en raison de la COVID-19 ».
De plus en plus de candidats envisagent de passer un GME pour renforcer leurs compétences malgré les incertitudes liées à la COVID
Alors que plus de la moitié des candidats potentiels (58 %) ont confirmé qu'ils « prévoyaient toujours de poursuivre un diplôme de commerce supérieur à ce stade », plus d'un tiers des candidats potentiels (37 %) ont indiqué rechercher désormais un GME parce qu'ils « souhaitent postuler pour un emploi, mais n'ont pas les compétences et/ou le diplôme nécessaires pour être compétitifs ». L'accélération de la demande de GME peut s'expliquer par le fait que de plus en plus de candidats reconnaissent la nécessité d'entrer dans une économie en crise en se préparant mieux à entamer une carrière.
« La COVID-19 a fondamentalement perturbé l'avenir du travail et les compétences nécessaires au succès futur », a déclaré Soojin Kwon, directeur général en charge des admissions et du programme MBA à temps plein à la Ross School of Business de l'université du Michigan, et par ailleurs directeur du conseil d'administration du GMAC. « C'est quelque chose dont les écoles de commerce sont pleinement conscientes et auquel elles s'adaptent, alors que les candidats cherchent à renforcer leurs compétences professionnelles et de leadership pour répondre à des exigences professionnelles en pleine mutation ».
Les candidats internationaux préfèrent toujours la mobilité à l'Internet
Parmi les personnes interrogées, plus de 40 % des candidats internationaux, c'est-à-dire ceux qui souhaitent étudier en dehors de leur pays de citoyenneté, déclarent que travailler en dehors de leur pays de citoyenneté est leur principale motivation professionnelle. Les opportunités de vivre et de travailler à l'étranger expliquent pourquoi les candidats internationaux (70 %) sont moins enclins à modifier leurs plans d'origine que les candidats nationaux (52 %) dans le contexte d'une épidémie planétaire. La plupart des candidats internationaux continuent donc de valoriser la mobilité et ne souhaitent pas que l'expérience en personne soit remplacée par l'enseignement en ligne.
Les États-Unis et le Royaume-Uni restent les principales destinations des étudiants internationaux
Les candidats internationaux continuent de considérer les États-Unis comme l'un de leurs trois choix privilégiés pour étudier le commerce à l'étranger. Les étudiants potentiels d'Inde classent les États-Unis parmi leurs choix de prédilection, avant même leur pays d'origine, tandis que ceux du Canada et du Royaume-Uni choisissent les États-Unis comme première destination internationale. Les candidats potentiels de la Grande Chine identifient le Royaume-Uni (27 %) comme étant leur destination privilégiée pour étudier, suivie des États-Unis (21 %) et de Singapour (12 %). La montée des tensions entre les États-Unis et la Chine ces dernières années a peut-être dissuadé les futurs étudiants chinois de se rendre en Amérique pour obtenir leur diplôme d'études supérieures ; un phénomène auquel s'ajoute le développement des programmes d'écoles de commerce de haute qualité en Chine et dans la région Asie/Pacifique.
Conclusions principales
Les candidates sont plus réceptives à l'enseignement à distance que les hommes
Même si les études ont suggéré que l'impact de la COVID-19 était particulièrement grave pour les femmes, du fait qu'elles ont dû assumer plus de responsabilités dans l'enseignement et le travail à distance, le rapport du GMAC révèle que de nombreuses candidates demeurent sous-évaluées et se montrent prêtes à adapter leurs projets d'enseignement supérieur. Plus précisément, les candidates sont plus susceptibles de rechercher la flexibilité de l'apprentissage en ligne que les hommes. Elles sont prêtes à accepter qu'une proportion plus élevée de leur diplôme soit complétée en ligne, et davantage susceptibles de convenir que les opportunités de carrière acquises grâce à un diplôme de commerce supérieur obtenu en présentiel sont les mêmes que celles obtenues via un diplôme en ligne.
« Alors que la disponibilité des vaccins se renforce, les étudiants potentiels du monde entier commencent à entrevoir la fin de la pandémie », a déclaré Sangeet Chowfla, président-directeur général du GMAC. « Il est particulièrement encourageant de voir que des candidates sont à la recherche de diplômes de commerce supérieurs pour obtenir des avantages professionnels malgré les défis et les obstacles uniques auxquels elles sont confrontées en raison de la COVID-19 ».
De plus en plus de candidats envisagent de passer un GME pour renforcer leurs compétences malgré les incertitudes liées à la COVID
Alors que plus de la moitié des candidats potentiels (58 %) ont confirmé qu'ils « prévoyaient toujours de poursuivre un diplôme de commerce supérieur à ce stade », plus d'un tiers des candidats potentiels (37 %) ont indiqué rechercher désormais un GME parce qu'ils « souhaitent postuler pour un emploi, mais n'ont pas les compétences et/ou le diplôme nécessaires pour être compétitifs ». L'accélération de la demande de GME peut s'expliquer par le fait que de plus en plus de candidats reconnaissent la nécessité d'entrer dans une économie en crise en se préparant mieux à entamer une carrière.
« La COVID-19 a fondamentalement perturbé l'avenir du travail et les compétences nécessaires au succès futur », a déclaré Soojin Kwon, directeur général en charge des admissions et du programme MBA à temps plein à la Ross School of Business de l'université du Michigan, et par ailleurs directeur du conseil d'administration du GMAC. « C'est quelque chose dont les écoles de commerce sont pleinement conscientes et auquel elles s'adaptent, alors que les candidats cherchent à renforcer leurs compétences professionnelles et de leadership pour répondre à des exigences professionnelles en pleine mutation ».
Les candidats internationaux préfèrent toujours la mobilité à l'Internet
Parmi les personnes interrogées, plus de 40 % des candidats internationaux, c'est-à-dire ceux qui souhaitent étudier en dehors de leur pays de citoyenneté, déclarent que travailler en dehors de leur pays de citoyenneté est leur principale motivation professionnelle. Les opportunités de vivre et de travailler à l'étranger expliquent pourquoi les candidats internationaux (70 %) sont moins enclins à modifier leurs plans d'origine que les candidats nationaux (52 %) dans le contexte d'une épidémie planétaire. La plupart des candidats internationaux continuent donc de valoriser la mobilité et ne souhaitent pas que l'expérience en personne soit remplacée par l'enseignement en ligne.
Les États-Unis et le Royaume-Uni restent les principales destinations des étudiants internationaux
Les candidats internationaux continuent de considérer les États-Unis comme l'un de leurs trois choix privilégiés pour étudier le commerce à l'étranger. Les étudiants potentiels d'Inde classent les États-Unis parmi leurs choix de prédilection, avant même leur pays d'origine, tandis que ceux du Canada et du Royaume-Uni choisissent les États-Unis comme première destination internationale. Les candidats potentiels de la Grande Chine identifient le Royaume-Uni (27 %) comme étant leur destination privilégiée pour étudier, suivie des États-Unis (21 %) et de Singapour (12 %). La montée des tensions entre les États-Unis et la Chine ces dernières années a peut-être dissuadé les futurs étudiants chinois de se rendre en Amérique pour obtenir leur diplôme d'études supérieures ; un phénomène auquel s'ajoute le développement des programmes d'écoles de commerce de haute qualité en Chine et dans la région Asie/Pacifique.