L’expérimentation du concept de village climato-intelligent fait des effets dans le comportement des producteurs. En effet grâce à ce modèle, ces derniers intègrent désormais l’information climatique dans le choix des variétés et dans la conduite des itinéraires techniques en vue de faire une bonne production et d’obtenir de meilleur rendement.
De même, ils ont réussi à faire la planification stratégique de la saison avec les ressources réellement disponibles, à mettre en place un paquet technologique agro-forestier climato-résilient intégrant l’arbre, les bonnes pratiques culturales ainsi que l’utilisation des prévisions et informations climatiques.
Ils ont aussi renforcé leur adaptation et la résilience face aux changements, amélioré la carte variétale dans le VCI, domestiqué les fruitiers forestiers et mis en défens 128 ha et réhabilité les parcs de baobab ayant permis d’ atteindre la neutralité de la dégradation des terres dans le village.
Ces résultats ont été présentés lors d’une journée d’échanges et de partage organisée récemment par le Centre national de recherches forestières de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA/CNRF), en vue de faciliter la valorisation scientifique, socioéconomique du concept et sa mise à l’échelle.
Une occasion pour la directrice du CNRF, Dr Diaminatou SANOGO, par ailleurs point focal du World Agroforestry Centre (ICRAF) au Sénégal, de faire la genèse de ce modèle. Elle a ainsi rappelé que c’est pour pallier aux multiples effets du changement climatique que l’ISRA a développé ce modèle holistique dénommé Village Climato Intelligent(VCI) à Kaffrine, grâce au soutien du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS) Afrique de l’Ouest et du Nœud Sahel ICRAF ’Afrique de l’Ouest et de et ses partenaires .
Le VCI prend en charge trois principaux défis que sont : la sécurité alimentaire, l’adaptation et l’atténuation à la variabilité et au changement climatique et met en avant quatre axes majeurs d’intervention. Il s’agit des pratiques d’agriculture climato-intelligente, des services et informations climatiques en relation avec l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), du développement de pratiques à faibles émissions et des politiques et institutions pour des systèmes alimentaires résilients face au climat.
L’objectif principal de ce modèle est de contribuer à l’amélioration des capacités de résilience des communautés et écosystèmes aux contraintes liées au changement climatique.
De même, ils ont réussi à faire la planification stratégique de la saison avec les ressources réellement disponibles, à mettre en place un paquet technologique agro-forestier climato-résilient intégrant l’arbre, les bonnes pratiques culturales ainsi que l’utilisation des prévisions et informations climatiques.
Ils ont aussi renforcé leur adaptation et la résilience face aux changements, amélioré la carte variétale dans le VCI, domestiqué les fruitiers forestiers et mis en défens 128 ha et réhabilité les parcs de baobab ayant permis d’ atteindre la neutralité de la dégradation des terres dans le village.
Ces résultats ont été présentés lors d’une journée d’échanges et de partage organisée récemment par le Centre national de recherches forestières de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA/CNRF), en vue de faciliter la valorisation scientifique, socioéconomique du concept et sa mise à l’échelle.
Une occasion pour la directrice du CNRF, Dr Diaminatou SANOGO, par ailleurs point focal du World Agroforestry Centre (ICRAF) au Sénégal, de faire la genèse de ce modèle. Elle a ainsi rappelé que c’est pour pallier aux multiples effets du changement climatique que l’ISRA a développé ce modèle holistique dénommé Village Climato Intelligent(VCI) à Kaffrine, grâce au soutien du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS) Afrique de l’Ouest et du Nœud Sahel ICRAF ’Afrique de l’Ouest et de et ses partenaires .
Le VCI prend en charge trois principaux défis que sont : la sécurité alimentaire, l’adaptation et l’atténuation à la variabilité et au changement climatique et met en avant quatre axes majeurs d’intervention. Il s’agit des pratiques d’agriculture climato-intelligente, des services et informations climatiques en relation avec l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), du développement de pratiques à faibles émissions et des politiques et institutions pour des systèmes alimentaires résilients face au climat.
L’objectif principal de ce modèle est de contribuer à l’amélioration des capacités de résilience des communautés et écosystèmes aux contraintes liées au changement climatique.