L’atténuation des pressions inflationnistes sur les produits alimentaires, les effets des mesures de politique monétaire prises par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao) et les efforts des Etats de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) ont produit un impact positif sur les tensions inflationnistes.
En effet selon le gouverneur de la Banque centrale, Jean-Claude Kassi Brou, ils ont permis de faire reculer le taux d’inflation qui est ressorti à 2,3 pour cent au quatrième trimestre 2023, après 2,9 pour cent le trimestre précédent. « Au total, pour l’année 2023, le taux d’inflation s’est situé à 3,7 pour cent après 7,4 pour cent en 2022 », a-t-il affirmé aujourd’hui au cours d’un point de presse tenu à la fin de la première réunion ordinaire du Comité de politique monétaire (Cpm) de la Bceao.
Selon les projections du Cpm, l’inflation devrait rester, en 2024, dans la zone cible définie pour la conduite de la politique monétaire (environs 3 pour cent).
De quoi rassurer le Cpm qui, de cette tendance baissière, a décidé à l’issue de sa réunion, de maintenir le principal taux directeur auquel la Banque centrale prête ses ressources aux banques à 3,50 pour cent, ainsi que le taux d’intérêt sur le guichet de prêt marginal à 5,50 pour cent, niveau en vigueur depuis le 16 décembre 2023.
Une décision qui, selon le gouverneur de la Bceao, tient essentiellement compte de l’atténuation des tensions inflationnistes et de l’amélioration des comptes extérieurs de l’Uemoa.
Evoquant l’activité économique, M. Brou fera état d’un certain dynamisme au quatrième trimestre 2023, signalant une progression du produit intérieur brut (Pib) réel équivalente à celle du trimestre précédent. « Sur l’année 2023, la croissance de l’Union s’est située à 5,6 pour cent après 5,7 pour cent en 2022 », a-t-il affirmé signalant qu’elle devrait s’accélérer en 2024 pour s’établir à 6,5 pour cent.
Se prononçant sur les crédits à l’économie, il a avancé une progression de 9,4 pour cent en rythme annuel à fin décembre 2023 après 13,9 pour cent le trimestre précédent, soulignant une contribution au soutien à la croissance des économies de l’Union.
A très court terme, le Cpm compte revenir avec une nouvelle analyse de l’évolution de l’inflation ainsi que de la situation économique et financière en vue de prendre d’autres mesures au besoin pour assurer la stabilité monétaire de la zone Uemoa.
En effet selon le gouverneur de la Banque centrale, Jean-Claude Kassi Brou, ils ont permis de faire reculer le taux d’inflation qui est ressorti à 2,3 pour cent au quatrième trimestre 2023, après 2,9 pour cent le trimestre précédent. « Au total, pour l’année 2023, le taux d’inflation s’est situé à 3,7 pour cent après 7,4 pour cent en 2022 », a-t-il affirmé aujourd’hui au cours d’un point de presse tenu à la fin de la première réunion ordinaire du Comité de politique monétaire (Cpm) de la Bceao.
Selon les projections du Cpm, l’inflation devrait rester, en 2024, dans la zone cible définie pour la conduite de la politique monétaire (environs 3 pour cent).
De quoi rassurer le Cpm qui, de cette tendance baissière, a décidé à l’issue de sa réunion, de maintenir le principal taux directeur auquel la Banque centrale prête ses ressources aux banques à 3,50 pour cent, ainsi que le taux d’intérêt sur le guichet de prêt marginal à 5,50 pour cent, niveau en vigueur depuis le 16 décembre 2023.
Une décision qui, selon le gouverneur de la Bceao, tient essentiellement compte de l’atténuation des tensions inflationnistes et de l’amélioration des comptes extérieurs de l’Uemoa.
Evoquant l’activité économique, M. Brou fera état d’un certain dynamisme au quatrième trimestre 2023, signalant une progression du produit intérieur brut (Pib) réel équivalente à celle du trimestre précédent. « Sur l’année 2023, la croissance de l’Union s’est située à 5,6 pour cent après 5,7 pour cent en 2022 », a-t-il affirmé signalant qu’elle devrait s’accélérer en 2024 pour s’établir à 6,5 pour cent.
Se prononçant sur les crédits à l’économie, il a avancé une progression de 9,4 pour cent en rythme annuel à fin décembre 2023 après 13,9 pour cent le trimestre précédent, soulignant une contribution au soutien à la croissance des économies de l’Union.
A très court terme, le Cpm compte revenir avec une nouvelle analyse de l’évolution de l’inflation ainsi que de la situation économique et financière en vue de prendre d’autres mesures au besoin pour assurer la stabilité monétaire de la zone Uemoa.